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Avec les récents leaks du hacking de Sony, on y apprend que, suite à l'échec de SOPA, la MPAA et 6 studios (Universal, Sony, Fox, Paramount, Warner Bros., et Disney) établissaient un plan pour continuer leur lutte "anti-piratage" (ça, on n'en doutait pas) et faire plier un certain Goliath, qui ne serait que le petit nom de code qu'ils auraient donné à... Google.
D'un côté, je trouverais ça presque cocasse que ces ayants-droit se prennent pour David quand tous les internautes qui se battent contre ces mesures de filtrage ont plutôt l'impression que Goliath, c'est eux. Question de point de vue je suppose.
(via https://twitter.com/laurentchemla/status/543511706521972736)
EDIT : http://www.nextinpact.com/news/91410-telechargement-illegal-man%C5%93uvres-secretes-d-hollywood-contre-google.htm
D'un côté, je trouverais ça presque cocasse que ces ayants-droit se prennent pour David quand tous les internautes qui se battent contre ces mesures de filtrage ont plutôt l'impression que Goliath, c'est eux. Question de point de vue je suppose.
(via https://twitter.com/laurentchemla/status/543511706521972736)
EDIT : http://www.nextinpact.com/news/91410-telechargement-illegal-man%C5%93uvres-secretes-d-hollywood-contre-google.htm
Action en justice menée par la SCPP : Blocage du site The Pirate Bay | Communiqué du 4 décembre 2014
Rhooo, Hadopi n'aurait donc pas réussi à faire baisser le téléchargement illégal qu'ils se sentent obligé d'interdire TPB en France ? (/sarcasme)
(https://startpage.com/do/search?q=hadopi+baisse+du+téléchargement&l=francais)
J'ai une folle envie de me moquer, aussi bien d'Hadopi que de cette décision.
EDIT : http://www.nextinpact.com/news/91250-la-justice-francaise-ordonne-blocage-the-pirate-bay-et-ses-miroirs.htm
EDIT² : http://www.nextinpact.com/news/91265-pourquoi-the-pirate-bay-et-ses-miroirs-seront-bloques-en-france.htm
http://www.nextinpact.com/news/91267-blocage-the-pirate-bay-en-france-satisfaction-fai.htm
http://www.nextinpact.com/news/91261-telecharger-en-pdf-decision-blocage-the-pirate-bay.htm
http://www.nextinpact.com/news/91264-les-majors-musique-demandent-blocage-t411-en-france.htm
https://www.laquadrature.net/fr/blocage-judiciaire-de-the-pirate-bay-un-aveu-dimpuissance-et-une-fuite-en-avant
http://blog.fdn.fr/?post/2014/12/07/Filtrer-The-Pirate-Bay-Ubu-roi-des-Internets
(https://startpage.com/do/search?q=hadopi+baisse+du+téléchargement&l=francais)
J'ai une folle envie de me moquer, aussi bien d'Hadopi que de cette décision.
EDIT : http://www.nextinpact.com/news/91250-la-justice-francaise-ordonne-blocage-the-pirate-bay-et-ses-miroirs.htm
EDIT² : http://www.nextinpact.com/news/91265-pourquoi-the-pirate-bay-et-ses-miroirs-seront-bloques-en-france.htm
http://www.nextinpact.com/news/91267-blocage-the-pirate-bay-en-france-satisfaction-fai.htm
http://www.nextinpact.com/news/91261-telecharger-en-pdf-decision-blocage-the-pirate-bay.htm
http://www.nextinpact.com/news/91264-les-majors-musique-demandent-blocage-t411-en-france.htm
https://www.laquadrature.net/fr/blocage-judiciaire-de-the-pirate-bay-un-aveu-dimpuissance-et-une-fuite-en-avant
http://blog.fdn.fr/?post/2014/12/07/Filtrer-The-Pirate-Bay-Ubu-roi-des-Internets
Jean-Michel Jarre est apparemment devenu le boss de la guilde internationale des Sacems. Ya des choses intéressantes dans son discours (de lobbyiste), mais j'aurais aimé qu'il en étaye d'autres qui me font lever le sourcil.
Pour faire écho à mon shaare du discours d'Albini (http://links.nekoblog.org/?lMYYpA), l'estimation de la répartition du prix d'un livre vendu 15€. J’imagine que l’illustrateur peut être remplacé par le traducteur dans un certain nombre de cas.
* Libraire : 32 %, soit 4,80 €
* Diffuseur : 23 %, soit 3,45 €
* Éditeur, 21 %, soit 3,15 €
* Imprimeur : 12,5 %, soit 1,87 €
* Auteur + Illustrateur : 6 %, soit 0,90 €
* État (perception de la TVA) : 5,5 %, soit 0,83 €
ÉDIT : En fait, je me demande si je n'avais pas lu un jour que les traducteurs touchaient pour la plupart un cachet fixe.
* Libraire : 32 %, soit 4,80 €
* Diffuseur : 23 %, soit 3,45 €
* Éditeur, 21 %, soit 3,15 €
* Imprimeur : 12,5 %, soit 1,87 €
* Auteur + Illustrateur : 6 %, soit 0,90 €
* État (perception de la TVA) : 5,5 %, soit 0,83 €
ÉDIT : En fait, je me demande si je n'avais pas lu un jour que les traducteurs touchaient pour la plupart un cachet fixe.
Transcription d'un excellent discours de Steve Albini (Shellac, producteur de plus d'un millier de disques dont Nirvana, les Pixies, Neurosis, etc.) autour de l'état du marché de la musique pré et post internet. C'est très complet, tout y passe, les maisons de disques parasites et limites mafieuses, les artistes sous-payés, le CD qui devient un outil de promotion du live alors que c'était l'inverse auparavant, le copyright madness, le domaine public et j'en oublie.
C'est long mais c'est vraiment à lire. Et comme me le disait un pote, ce sont effectivement pas mal de choses dont bcp étaient déjà conscients, mais l'entendre de la bouche d'un professionnel de la musique aussi accompli qu'Albini, ça fait du bien.
Quelques extraits tout de même :
« (Les coûts) engendrés par la fabrication d’un disque n’étaient pas pris en charge par les labels, si ce n’est au tout début du projet, mais étaient amortis et récupérés sur les revenus que les groupes tiraient de leurs royalties. (...) En fait, toute dépense qui pouvait être associée à un groupe ou un disque était finalement payée par le groupe, et non par le label. En optant pour le CD plutôt que le vinyle comme support dominant, les labels ont pu facilement vendre un objet pratique, compact, que l’on puisse écouter sans problème. Leurs marges bénéficiaires ont alors explosé et – le CD se vendant deux fois plus cher que le vinyle alors que ses coûts de fabrication, d’envoi et de stockage étaient bien moindre – l’argent coulait à flot. »
« De deux choses l’une: soit l’argent était donné en termes de royalties au groupe qui l’aurait dépensé en dehors du système, dans des maisons, de l’alimentaire ou dans des études; soit il était offert à d’autres intervenants de l’industrie, ce qui ne faisait qu’accroitre l’influence et le prestige du généreux donateur. C’est comme si votre patron, plutôt que de vous donner votre salaire, le filait en votre nom à des amis ou des associés. »
« Vous avez peut être remarqué que, dans ma description du marché de masse et de l’industrie de l’ère pré-internet, j’ai peu fait allusion au public et aux groupes. Ces deux extrémités du spectre étaient alors difficilement considérées par le reste du business. »
« Il y a quelques années, mon groupe a monté une tournée en Europe de l’Est. Nous sommes allés en République Tchèque, en Pologne, en Croatie, en Slovénie, en Macédoine, en Bulgarie, jusqu’en Turquie. (...) On a joué devant des salles combles, de même taille qu’ailleurs, et le public semblait familier avec notre musique. La grosse différence est que chacune des villes visitées n’a littéralement jamais vendu le moindre de nos disques. 100% de notre renommée là-bas s’est faite de manière informelle, par le biais d’internet ou de la main à la main. »
« L’ancien système était pensé par l’industrie dans le but de servir ses propres pions. Le nouveau, celui ou la musique est partagée de manière informelle et ou les groupes sont en contact direct avec leurs fans, l’a été par les groupes et les fans, sur le modèle de l’ancien underground. »
« En parallèle, les revenus des groupes générés par le live ont également augmenté. Le mien, par exemple, joue depuis 20 ans dans quasiment toujours les mêmes salles. Je devine que vous vous dites que notre public en a marre, pourtant certaines d’entre elles nous payent plus qu’il y a 10 ou 15 ans. Il arrive qu’on nous paye maintenant 4000 ou 5000 quand elles nous payaient 400 ou 500. »
« Les consommateurs (...) est ce qu’ils ont déjà eu leur mot à dire quand leur musique a été compressée, taguée, protégée contre la copie, ou rendue effaçable? Est ce qu’ils ont eu le choix quand iTunes a automatiquement téléchargé le nouvel album de U2 dans leur discothèque? Bien sûr que non. Toutes ces choses ont été décidées, et nous avons dû nous y soumettre. N’avoir plus qu’à se plaindre ou se rebeller n’est pas la même chose que d’être impliqué dans des décisions. »
« Je ne pleure donc pas la perte de ces grands bureaux inefficaces qui ont disparu durant cette mutation, même si je suppose que certaines personnes sont au chômage. Mais il s’est passé la même chose quand l’automobile a remplacé le cheval: tous les forgerons ont dû s’adapter, passer leur temps à faire des portes de jardin plutôt de des fers de chevaux. »
(via http://links.aurem.org/?uPO2FQ)
C'est long mais c'est vraiment à lire. Et comme me le disait un pote, ce sont effectivement pas mal de choses dont bcp étaient déjà conscients, mais l'entendre de la bouche d'un professionnel de la musique aussi accompli qu'Albini, ça fait du bien.
Quelques extraits tout de même :
« (Les coûts) engendrés par la fabrication d’un disque n’étaient pas pris en charge par les labels, si ce n’est au tout début du projet, mais étaient amortis et récupérés sur les revenus que les groupes tiraient de leurs royalties. (...) En fait, toute dépense qui pouvait être associée à un groupe ou un disque était finalement payée par le groupe, et non par le label. En optant pour le CD plutôt que le vinyle comme support dominant, les labels ont pu facilement vendre un objet pratique, compact, que l’on puisse écouter sans problème. Leurs marges bénéficiaires ont alors explosé et – le CD se vendant deux fois plus cher que le vinyle alors que ses coûts de fabrication, d’envoi et de stockage étaient bien moindre – l’argent coulait à flot. »
« De deux choses l’une: soit l’argent était donné en termes de royalties au groupe qui l’aurait dépensé en dehors du système, dans des maisons, de l’alimentaire ou dans des études; soit il était offert à d’autres intervenants de l’industrie, ce qui ne faisait qu’accroitre l’influence et le prestige du généreux donateur. C’est comme si votre patron, plutôt que de vous donner votre salaire, le filait en votre nom à des amis ou des associés. »
« Vous avez peut être remarqué que, dans ma description du marché de masse et de l’industrie de l’ère pré-internet, j’ai peu fait allusion au public et aux groupes. Ces deux extrémités du spectre étaient alors difficilement considérées par le reste du business. »
« Il y a quelques années, mon groupe a monté une tournée en Europe de l’Est. Nous sommes allés en République Tchèque, en Pologne, en Croatie, en Slovénie, en Macédoine, en Bulgarie, jusqu’en Turquie. (...) On a joué devant des salles combles, de même taille qu’ailleurs, et le public semblait familier avec notre musique. La grosse différence est que chacune des villes visitées n’a littéralement jamais vendu le moindre de nos disques. 100% de notre renommée là-bas s’est faite de manière informelle, par le biais d’internet ou de la main à la main. »
« L’ancien système était pensé par l’industrie dans le but de servir ses propres pions. Le nouveau, celui ou la musique est partagée de manière informelle et ou les groupes sont en contact direct avec leurs fans, l’a été par les groupes et les fans, sur le modèle de l’ancien underground. »
« En parallèle, les revenus des groupes générés par le live ont également augmenté. Le mien, par exemple, joue depuis 20 ans dans quasiment toujours les mêmes salles. Je devine que vous vous dites que notre public en a marre, pourtant certaines d’entre elles nous payent plus qu’il y a 10 ou 15 ans. Il arrive qu’on nous paye maintenant 4000 ou 5000 quand elles nous payaient 400 ou 500. »
« Les consommateurs (...) est ce qu’ils ont déjà eu leur mot à dire quand leur musique a été compressée, taguée, protégée contre la copie, ou rendue effaçable? Est ce qu’ils ont eu le choix quand iTunes a automatiquement téléchargé le nouvel album de U2 dans leur discothèque? Bien sûr que non. Toutes ces choses ont été décidées, et nous avons dû nous y soumettre. N’avoir plus qu’à se plaindre ou se rebeller n’est pas la même chose que d’être impliqué dans des décisions. »
« Je ne pleure donc pas la perte de ces grands bureaux inefficaces qui ont disparu durant cette mutation, même si je suppose que certaines personnes sont au chômage. Mais il s’est passé la même chose quand l’automobile a remplacé le cheval: tous les forgerons ont dû s’adapter, passer leur temps à faire des portes de jardin plutôt de des fers de chevaux. »
(via http://links.aurem.org/?uPO2FQ)
Tableau comparatif des barèmes de la copie privée des pays européens limitrophes à la France.
Copie de sauvegarde : https://files.nekoblog.org/uploads/imgs/bareme-copie-privee-france-europe.jpeg
Copie de sauvegarde : https://files.nekoblog.org/uploads/imgs/bareme-copie-privee-france-europe.jpeg
Je cite Copyright Madness : « Assasin's Creed Unity se déroule dans le Paris de la Révolution et la cathédrale Notre Dame est un des lieux de l'action. Mais Ubisoft, le studio à l'origine du jeu, n'a pas pu reproduire l'orgue de la cathédrale... pour des raisons de droit d'auteur ! L'édifice vénérable est bien sûr dans le domaine public depuis longtemps, mais le Grand Orgue a fait l'objet d'une restauration en 1992, qui a été l'occasion de remettre une petite couche de copyright. »
(via https://storify.com/Copyrightmad/copyright-madness-du-9-au-novembre-une-semaine-de)
(via https://storify.com/Copyrightmad/copyright-madness-du-9-au-novembre-une-semaine-de)
Ça me laisse le sentiment d'un retournement de veste de la part de quelqu'un qui a mal pris l'étude de la Hadopi concernant la légalisation du partage non-marchand. Mais je m'avance peut-être un peu.
Reste que ça me "fascine" cette agressivité de la part des ayants-droits concernant une institution publique qui a sorti une étude (et juste une étude) qui pourrait aller, une fois n'est malheureusement pas coutume, dans le sens du consommateur et du citoyen. Même si cette étude n'est pas parfaite.
Et à la différence de M. Rocca, je préférerais que Hadopi, quitte à ce qu'elle serve à quelque chose, se focalise ce genre d'étude et sur la promotion d'une offre légale en faveur du consommateur.
Reste que ça me "fascine" cette agressivité de la part des ayants-droits concernant une institution publique qui a sorti une étude (et juste une étude) qui pourrait aller, une fois n'est malheureusement pas coutume, dans le sens du consommateur et du citoyen. Même si cette étude n'est pas parfaite.
Et à la différence de M. Rocca, je préférerais que Hadopi, quitte à ce qu'elle serve à quelque chose, se focalise ce genre d'étude et sur la promotion d'une offre légale en faveur du consommateur.
Quand je vois comment les intérêts privés peuvent primer sur les intérêts publics et le patrimoine culturel mondial, je vois de plus en plus le téléchargement illégal comme une forme de désobéissance civile.
Après, loin de moi l'idée de brandir l'argument pour excuser le téléchargement illégal à tout va, j'essaie de conserver une certaine "éthique" dans mes achat de produits culturels, aussi arbitraire soit-elle, mais quand même.
Après, loin de moi l'idée de brandir l'argument pour excuser le téléchargement illégal à tout va, j'essaie de conserver une certaine "éthique" dans mes achat de produits culturels, aussi arbitraire soit-elle, mais quand même.
Extrait : « Il y a quelques jours, je suis retombée sur les notes d'un exposé que j'ai fait pendant mon Master édition, avec Margaux Tartavel. J'y décortique les différentes sources de revenu des auteurs, selon la loi et dans la pratique, à l'aide d'une étude de la SCAM et de plusieurs entretiens avec des auteurs plus ou moins connus. »
Copie de sauvegarde du pdf : https://files.nekoblog.org/uploads/pdf/la-remuneration-des-auteurs-en-france.pdf
Copie de sauvegarde du pdf : https://files.nekoblog.org/uploads/pdf/la-remuneration-des-auteurs-en-france.pdf
Un livre à propos des « industries culturelles face au numérique ». Par contre, quand le résumé du bouquin débute par « Pour retrouver le chemin de (...) la croissance », je me dis que ça commence mal.
Pis il est vendu avec DRM, donc je n'aurai aucun scrupule à le choper ailleurs, si je le trouve.
Pis il est vendu avec DRM, donc je n'aurai aucun scrupule à le choper ailleurs, si je le trouve.
Extrait : « Les ayants droit ne sont pas satisfaits de méthodes mises en œuvre par Google pour lutter contre la diffusion des contenus piratés, et le font régulièrement savoir. Disney est l'une des sociétés les plus virulentes en la matière, en témoigne une extension de la durée du copyright qui porte le surnom « The Mickey Mouse Copyright Extension Act ». La firme a déposé un brevet pour un moteur de recherche sans sites pirates. »
Une interview de Daniel Lauzon, auteur de la nouvelle traduction du Hobbit et du Seigneur des Anneaux qui s’explique, en parti, sur les noms propres.
Quelque chose qui n'est pas dit mais qui a été soulevé sur le topic du forum JeuxOnline, c'est la nécessité de retraduire ces noms pour des questions de droits d'auteur. Et c'est effectivement la première chose à laquelle j'ai pensé en apprenant que Sacquet était devenu Bessac. À voir, je ne pensais pas lire ces nouvelles éditions, mais je vais peut-être m'y coller quand même. Pis en lisant des extraits comparatifs, au delà de ces noms propres, faut avouer, ça a l'air quand même vachement plus mieux. Et si cette nouvelle trad permet aux gens qui n'ont jamais réussi à lire le SdA pck la 1ere est un peu lourde, ça reste une excellente chose. (mais les noms propres vont quand même me faire râler).
Madeleine de Proust, toussa toussa. :)
(via http://forums.jeuxonline.info/showthread.php?t=1189277&page=4)
EDIT : Une interview vidéo de Vincent Ferré (1h18) : https://www.youtube.com/watch?v=vLO4yshgFEk (pas encore vu)
(via http://lesfuretsdugondor.info/2014/10/sortie-la-fraternite-de-lanneau/)
EDIT² : http://www.telerama.fr/livre/le-seigneur-des-anneaux-se-rhabille-de-mots-neufs,123212.php
Quelque chose qui n'est pas dit mais qui a été soulevé sur le topic du forum JeuxOnline, c'est la nécessité de retraduire ces noms pour des questions de droits d'auteur. Et c'est effectivement la première chose à laquelle j'ai pensé en apprenant que Sacquet était devenu Bessac. À voir, je ne pensais pas lire ces nouvelles éditions, mais je vais peut-être m'y coller quand même. Pis en lisant des extraits comparatifs, au delà de ces noms propres, faut avouer, ça a l'air quand même vachement plus mieux. Et si cette nouvelle trad permet aux gens qui n'ont jamais réussi à lire le SdA pck la 1ere est un peu lourde, ça reste une excellente chose. (mais les noms propres vont quand même me faire râler).
Madeleine de Proust, toussa toussa. :)
(via http://forums.jeuxonline.info/showthread.php?t=1189277&page=4)
EDIT : Une interview vidéo de Vincent Ferré (1h18) : https://www.youtube.com/watch?v=vLO4yshgFEk (pas encore vu)
(via http://lesfuretsdugondor.info/2014/10/sortie-la-fraternite-de-lanneau/)
EDIT² : http://www.telerama.fr/livre/le-seigneur-des-anneaux-se-rhabille-de-mots-neufs,123212.php
J'ai du mal à comprendre ces 2 phrases :
« Si Google s'empare d'œuvres sous propriété intellectuelle et en fait usage, l'Union européenne se doit de les protéger et imposer une taxe au moteur de recherche »
S'emparer ? Rapport au référencement ? Dans ce cas, quid du référencement des offres légales ?
« L'année dernière, l'Allemagne, pays d'origine de Günther Oettinger, a créé un droit « voisin » imposant aux moteurs de recherche de payer les maisons d'édition lorsqu'ils exploitent du contenu ou référencent des liens leur appartenant. »
Une taxe sur le référencement de liens appartenant aux maisons d'édition ? Sérieusement ?
(via http://sebsauvage.net/links/?H-Htgw)
« Si Google s'empare d'œuvres sous propriété intellectuelle et en fait usage, l'Union européenne se doit de les protéger et imposer une taxe au moteur de recherche »
S'emparer ? Rapport au référencement ? Dans ce cas, quid du référencement des offres légales ?
« L'année dernière, l'Allemagne, pays d'origine de Günther Oettinger, a créé un droit « voisin » imposant aux moteurs de recherche de payer les maisons d'édition lorsqu'ils exploitent du contenu ou référencent des liens leur appartenant. »
Une taxe sur le référencement de liens appartenant aux maisons d'édition ? Sérieusement ?
(via http://sebsauvage.net/links/?H-Htgw)
Je cite Neil Jomunsi : « "Le self-publishing ? Si cela avait marché, cela se saurait." Évidemment que le self-publishing ne fonctionne pas : au plus petit succès, un éditeur se jette dessus. Le jour où des auteurs préfèreront rester indés face à un contrat d'édition, il y aura du grabuge (et on y croira davantage) :) »
https://twitter.com/NeilJomunsi/status/526016953136447488
https://twitter.com/NeilJomunsi/status/526017181713436674
https://twitter.com/NeilJomunsi/status/526017485385248768
https://twitter.com/NeilJomunsi/status/526016953136447488
https://twitter.com/NeilJomunsi/status/526017181713436674
https://twitter.com/NeilJomunsi/status/526017485385248768
En fait, Eric Walter a, depuis plusieurs mois, pas mal nuancé son discours et a acquis une certaine culture internet.
Je veux pas me faire l'avocat du diable, il y a encore un certain nombre de choses avec lesquelles je ne suis pas d'accord avec lui et la riposte graduée reste un process inutile qu'il faudrait supprimer. Mais pour suivre ce qu'il raconte à droite et à gauche, ya une vraie évolution que je trouve positive et un dialogue s'est instauré entre lui et un certain nombre d'anti-hadopistes (Chemla, Champeau et bien d'autres, via Twitter notamment).
Je ne dis pas qu'il ne faut plus être critique envers l'Hadopi ou que l'Hadopi maintenant, c'est des "gentils", mais quand on a l'habitude de voir les murs que se tapent habituellement les divers défenseurs des libertés individuelles sur le net et autres libristes, voir émerger un dialogue, je peux pas ne pas trouver ça positif.
Après, j'avoue, c'est un peu surréaliste d'en venir presque à soutenir Hadopi...
Note pour moi-même : d'autres liens en rapport.
http://www.nextinpact.com/news/90231-le-bras-dhonneur-hadopi-a-fleur-pellerin-et-aux-ayants-droit.htm
https://twitter.com/laurentchemla/status/517325589624414208
https://twitter.com/laurentchemla/status/517326835127169024
https://twitter.com/laurentchemla/status/517330734256640002
EDIT : http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2014/10/02/qui-veut-la-peau-d-hadopi_1113432
http://lehollandaisvolant.net/?d=2014/10/02/17/58/24-hadopi-vire-de-bord-un-peu
EDIT² : Quelques infos sur les Seydoux : http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/10/25/les-freres-seydoux-histoire-d-un-clan_3502711_3246.html
http://www.capital.fr/enquetes/hommes-et-affaires/les-petits-secrets-de-la-famille-seydoux-proprietaire-de-gaumont-et-pathe-907318
Je veux pas me faire l'avocat du diable, il y a encore un certain nombre de choses avec lesquelles je ne suis pas d'accord avec lui et la riposte graduée reste un process inutile qu'il faudrait supprimer. Mais pour suivre ce qu'il raconte à droite et à gauche, ya une vraie évolution que je trouve positive et un dialogue s'est instauré entre lui et un certain nombre d'anti-hadopistes (Chemla, Champeau et bien d'autres, via Twitter notamment).
Je ne dis pas qu'il ne faut plus être critique envers l'Hadopi ou que l'Hadopi maintenant, c'est des "gentils", mais quand on a l'habitude de voir les murs que se tapent habituellement les divers défenseurs des libertés individuelles sur le net et autres libristes, voir émerger un dialogue, je peux pas ne pas trouver ça positif.
Après, j'avoue, c'est un peu surréaliste d'en venir presque à soutenir Hadopi...
Note pour moi-même : d'autres liens en rapport.
http://www.nextinpact.com/news/90231-le-bras-dhonneur-hadopi-a-fleur-pellerin-et-aux-ayants-droit.htm
https://twitter.com/laurentchemla/status/517325589624414208
https://twitter.com/laurentchemla/status/517326835127169024
https://twitter.com/laurentchemla/status/517330734256640002
EDIT : http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2014/10/02/qui-veut-la-peau-d-hadopi_1113432
http://lehollandaisvolant.net/?d=2014/10/02/17/58/24-hadopi-vire-de-bord-un-peu
EDIT² : Quelques infos sur les Seydoux : http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/10/25/les-freres-seydoux-histoire-d-un-clan_3502711_3246.html
http://www.capital.fr/enquetes/hommes-et-affaires/les-petits-secrets-de-la-famille-seydoux-proprietaire-de-gaumont-et-pathe-907318
Extrait : « L'entrée en vigueur d'exceptions au copyright, au Royaume-Uni, était prévue depuis quelques mois. L'occasion de mettre à jour une législation passablement obsolète, qui interdisait ainsi aux consommateurs d'extraire des fichiers audio des CD qu'ils avaient achetés. L'exception au titre d'un travail parodique est également autorisée, à condition que le résultat soit... drôle. »
« Pour pouvoir copier en toute légalité, il faudra toutefois que l'usager veille à conserver les contenus dans un cadre privé, et prenne garde à ne pas forcer un verrou numérique... Comme ceux que l'on peut trouver sur les livres numériques. »
Dommage, ils ont l'air d'avoir fait les choses à moitié. >.< #angleterre
« Pour pouvoir copier en toute légalité, il faudra toutefois que l'usager veille à conserver les contenus dans un cadre privé, et prenne garde à ne pas forcer un verrou numérique... Comme ceux que l'on peut trouver sur les livres numériques. »
Dommage, ils ont l'air d'avoir fait les choses à moitié. >.< #angleterre
Extrait : « Le problème n’est pas nouveau. De la même manière que la plupart des internautes situés à l’étranger, les Français résidant dans les départements et collectivités d’outre-mer (Réunion, Guyane, Martinique, Saint Pierre et Miquelon...) ne peuvent bien souvent pas acheter de livres numériques pourtant vendus sur des sites français, à l’image de celui de la FNAC. Parfois, l'internaute peut acheter son ebook, mais ne peut pas y accéder. La double peine. En cause ? L’adresse IP du consommateur ultramarin, qui peut-être considérée comme relevant en fait d’une connexion située à l'étranger. Or pour des raisons de droits d'auteur, les ventes d’ebooks sont souvent limitées géographiquement à la France, et donc restreintes techniquement. »
« Mais aucune solution n’est clairement proposée par les deux inspecteurs. Faisant valoir que les éditeurs et les cybermarchands travaillent d’ores et déjà à résoudre ce problème, les rapporteurs s’en remettent à une nouvelle mission dédiée. « Il conviendrait qu’un groupe de travail sous l’égide des ministères de la culture et de la communication (SLL) et des Outre-mer (DGOM), associant le Syndicat national de l’édition (SNE), le Syndicat de la librairie française (SLF) quelques libraires en ligne et opérateurs techniques prestataires pour les libraires (Numilog, e-Pagine, Mo3T) s’attache à définir conjointement les conditions de résolution de ce problème technique » concluent-ils. »
#offrelégaleàchier
« Mais aucune solution n’est clairement proposée par les deux inspecteurs. Faisant valoir que les éditeurs et les cybermarchands travaillent d’ores et déjà à résoudre ce problème, les rapporteurs s’en remettent à une nouvelle mission dédiée. « Il conviendrait qu’un groupe de travail sous l’égide des ministères de la culture et de la communication (SLL) et des Outre-mer (DGOM), associant le Syndicat national de l’édition (SNE), le Syndicat de la librairie française (SLF) quelques libraires en ligne et opérateurs techniques prestataires pour les libraires (Numilog, e-Pagine, Mo3T) s’attache à définir conjointement les conditions de résolution de ce problème technique » concluent-ils. »
#offrelégaleàchier
Extrait : " Cory Doctorow revient très largement dans une analyse que présente le Guardian, sur la question de la protection du droit d'auteur, ou plus précisément du copyright, avec l'adjonction de DRM. Ces outils numériques sont ce que l'on présente plus concrètement comme des verrous numériques, chargés d'empêcher des utilisations proscrites par l'ayant droit. En somme, restreindre les usages du consommateur, que l'on soupçonne par avance, d'être un contrefacteur en puissance. "
Extrait : « Une fois que les ventes se seront tassées et qu’un minium de temps sera passé, je publierai le code du jeu sous une forme d’Open Source. Je ne suis pas très content de la nature draconienne de la (L)GPL, non pas que je crois que les autres licences ont plus de mérites, à part de booster l’égo de ceux qui les ont écrites. Alors il est possible que je verse simplement le code dans le domaine public. »
J'avais oublié ça. Une autre raison pour ne pas aimer la vente à Microsoft.
J'avais oublié ça. Une autre raison pour ne pas aimer la vente à Microsoft.