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Ça me rappelle avoir vu passer ça https://pbs.twimg.com/media/ECvWI7IU0AAVcS9?format=jpg&name=large
« That’s how you headline » (https://twitter.com/emilybuckshot/status/1095470424735965184)
« Just as at a big festival, if what you want is what only these huge corporations can offer, then your subscription money is well spent. But if you’re using a streaming service to listen to anything other than the most-streamed tracks, your money isn’t supporting what you’re hearing. » #spotify
« So share your money deliberately when you spend it on music, and it will be a real gesture with a real effect. Share the context of your information online, and its content won’t be stripped from you. And share your music—for free. It’s a powerful action, powerful enough that the biggest corporations in the world feel threatened by it. Let them. »
« So share your money deliberately when you spend it on music, and it will be a real gesture with a real effect. Share the context of your information online, and its content won’t be stripped from you. And share your music—for free. It’s a powerful action, powerful enough that the biggest corporations in the world feel threatened by it. Let them. »
« Savez-vous que, lorsque vous écoutez le dernier album de votre chanteur underground préféré sur Deezer, l’argent de votre abonnement va dans les poches de Jul et d’Ed Sheeran ? Si, si. »
Une des raisons pour lesquelles je préfère *acheter* les albums (Bandcamp, Qobuz, Boomkat, etc) et les streamer depuis un truc comme Libresonic plutôt que de payer un abo Spotify.
Une des raisons pour lesquelles je préfère *acheter* les albums (Bandcamp, Qobuz, Boomkat, etc) et les streamer depuis un truc comme Libresonic plutôt que de payer un abo Spotify.
Et le bouquin est plutôt sympa à lire.
« La principale conclusion est que sans l’illégalité, sans le piratage, le partage, les zones grises, les échanges entre internautes, cette façon de bousculer, [l'industrie musicale] est un monde qui n’avance pas. »
« La principale conclusion est que sans l’illégalité, sans le piratage, le partage, les zones grises, les échanges entre internautes, cette façon de bousculer, [l'industrie musicale] est un monde qui n’avance pas. »
« De Mozart à Napster, la musique a toujours circulé comme bon lui semble, loin du cadre juridique et commercial qu’on a tenté de lui imposer. Au Vatican, dans les faubourgs populaires de Londres au XIXe siècle ou dans le sous-sol de Bob Dylan, l’appétit de musique sera toujours plus fort que la loi. »
Steve Albini on the surprisingly sturdy state of the music industry – in full | Music | The Guardian
La transcription en VO de la keynote d'Albini à Melbourne en 2014.
« Tiens, la version numérique du Petit Prince est PLUS CHÈRE que la version papier. Et bardée de DRM.
Alors qu'il est dans le domaine public. Enfin, partout sauf en France, faut pas déconner.
Je dis ça parce qu'il paraît que pour illustrer l'insuccès du numérique, il se dit que "même le Petit Prince ne se vend pas en numérique".
Enfin bon, puisqu'il paraît que les gens n'aiment pas lire en numérique, j'imagine qu'il ne faut pas chercher de vilaines raisons ailleurs. »
Alors qu'il est dans le domaine public. Enfin, partout sauf en France, faut pas déconner.
Je dis ça parce qu'il paraît que pour illustrer l'insuccès du numérique, il se dit que "même le Petit Prince ne se vend pas en numérique".
Enfin bon, puisqu'il paraît que les gens n'aiment pas lire en numérique, j'imagine qu'il ne faut pas chercher de vilaines raisons ailleurs. »
« On connaissait les relations un peu rapprochées qu’entretiennent certains journalistes jeux vidéo avec l'industrie qu'ils couvrent. Mais "La Revue du crieur" rappelle que le problème concerne le journalisme culturel dans son ensemble »
Shorter : L'édition délocalise souvent la confection de leurs epubs, le code de ces epubs est pourri et sera difficilement maintenable.