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Extrait : « Dan Aykroyd is projecting a decade into the future of the ghosthunting franchise. And what’s his model for churning out single-focus movies while still constructing a cohesive Ghostbusters universe? Why, the Marvel Cinematic Universe, of course! »
Mmm. Mouais. Je pense pas que ce soit de la parano que d'imaginer qu'il n'y voit simplement qu'une machine à cash pour geek consumériste ? :/
Mmm. Mouais. Je pense pas que ce soit de la parano que d'imaginer qu'il n'y voit simplement qu'une machine à cash pour geek consumériste ? :/
J'ai pas pris le temps de regarder la vidéo de l'article de Korben, mais je me permets de copier ton commentaire :
« Les 3 (4?) Lois de la Robotique d'Asimov me turlupinent, car je me demande si elles ne sont qu'une idée (géniale !) d'un auteur de SF, ou si elles sont le seul moyen de construire des robots qui doivent évoluer au milieu des humains. Comment définir le comportement à adopter pour un robot dans l'infinité des cas possibles autrement qu'avec des règles qui servent de base au reste du comportement du robot ?
Je me fais plein de nœuds au cerveau sur ce sujet, ces temps-ci. Je crois que c'est apparu quand j'ai commencé à regarder la série "Real Humans (http://fr.wikipedia.org/wiki/Real_Humans_:_100_%25_humain) »
Ce que j'aime dans ton commentaire (et dans l'article), c'est de voir l'impact d'un auteur de SF sur notre IRL. :)
Reste que je pense que tout est relatif. Relatif à la tâche à laquelle le robot (ou la pseudo IA) sera destinée, relatif à la situation à laquelle le robot sera confronté. J'entends par là qu'à l'heure actuelle, une IA ne peut prendre une décision qu'en rapport aux "choix" qu'il lui seront possible de faire et que c'est sûrement aux concepteurs/développeurs d'essayer d'anticiper les multiples cas et d'essayer de proposer des solutions intermédiaires à l'IA (pour reprendre l'exemple de l'article de Korben, est ce que ce ne serait pas mieux d'envoyer la voiture dans l'arbre si on développe à côté une solution qui permet au conducteur de rester en vie ?). Les lois d'Asimov, en ça, ne sont peut-être qu'une bonne base de travail.
Tout ça, évidemment, en admettant que ces concepteurs aient un minimum d'éthique et œuvrent pour le "bien de l'espèce humaine" (un peu pompeuse comme formulation). Parce qu'en parlant d'éthique, le cas du robot militaire peut aussi poser bcp de questions (mais là il y a un risque de dériver sur le gros sujet qu'est la guerre, les fabricants d'armes, etc).
Enfin bref, ma réponse est pas mal orientée pour des IA bcp moins évoluées que celles d'Asimov. La question restera certainement entière si on en arrive un jour à des cas d'IA polyvalentes qui devront prendre des décisions dans des situations complexes et inédites (capacités d'apprentissage, toussa toussa).
"My 2 cents" à froid, reste que je note pour Real Humans, je connaissais pas (enfin je crois pas).
EDIT : À froid, à froid, j'ai quand même bien passé 30min à écrire ce bout de texte en fait. ^^
EDIT² : Vu dans les commentaires de Korben : https://fr.wikipedia.org/wiki/Dilemme_du_tramway (tl;dr)
EDIT³ : http://sammyfisherjr.net/Shaarli/?XSTmsg Pour ma part, j'ai pas mal de lacunes dans les écrits d'Asimov, la faute à une liste de lecture interminable. :/
« Les 3 (4?) Lois de la Robotique d'Asimov me turlupinent, car je me demande si elles ne sont qu'une idée (géniale !) d'un auteur de SF, ou si elles sont le seul moyen de construire des robots qui doivent évoluer au milieu des humains. Comment définir le comportement à adopter pour un robot dans l'infinité des cas possibles autrement qu'avec des règles qui servent de base au reste du comportement du robot ?
Je me fais plein de nœuds au cerveau sur ce sujet, ces temps-ci. Je crois que c'est apparu quand j'ai commencé à regarder la série "Real Humans (http://fr.wikipedia.org/wiki/Real_Humans_:_100_%25_humain) »
Ce que j'aime dans ton commentaire (et dans l'article), c'est de voir l'impact d'un auteur de SF sur notre IRL. :)
Reste que je pense que tout est relatif. Relatif à la tâche à laquelle le robot (ou la pseudo IA) sera destinée, relatif à la situation à laquelle le robot sera confronté. J'entends par là qu'à l'heure actuelle, une IA ne peut prendre une décision qu'en rapport aux "choix" qu'il lui seront possible de faire et que c'est sûrement aux concepteurs/développeurs d'essayer d'anticiper les multiples cas et d'essayer de proposer des solutions intermédiaires à l'IA (pour reprendre l'exemple de l'article de Korben, est ce que ce ne serait pas mieux d'envoyer la voiture dans l'arbre si on développe à côté une solution qui permet au conducteur de rester en vie ?). Les lois d'Asimov, en ça, ne sont peut-être qu'une bonne base de travail.
Tout ça, évidemment, en admettant que ces concepteurs aient un minimum d'éthique et œuvrent pour le "bien de l'espèce humaine" (un peu pompeuse comme formulation). Parce qu'en parlant d'éthique, le cas du robot militaire peut aussi poser bcp de questions (mais là il y a un risque de dériver sur le gros sujet qu'est la guerre, les fabricants d'armes, etc).
Enfin bref, ma réponse est pas mal orientée pour des IA bcp moins évoluées que celles d'Asimov. La question restera certainement entière si on en arrive un jour à des cas d'IA polyvalentes qui devront prendre des décisions dans des situations complexes et inédites (capacités d'apprentissage, toussa toussa).
"My 2 cents" à froid, reste que je note pour Real Humans, je connaissais pas (enfin je crois pas).
EDIT : À froid, à froid, j'ai quand même bien passé 30min à écrire ce bout de texte en fait. ^^
EDIT² : Vu dans les commentaires de Korben : https://fr.wikipedia.org/wiki/Dilemme_du_tramway (tl;dr)
EDIT³ : http://sammyfisherjr.net/Shaarli/?XSTmsg Pour ma part, j'ai pas mal de lacunes dans les écrits d'Asimov, la faute à une liste de lecture interminable. :/
Effectivement, j'aime aussi le premier commentaire : « Dystopian Science Fiction is less about Science and more about how Human Beings misuse Science. So, no. Don't stop writing Dystopian Science Fiction. Mankind's darker side has always been our worst enemy. ».
Par contre, à part 1984 et Minority Report (cité tous 2 à tord et à travers), j'ai pas toujours l'impression que le "quidam" voit les dystopies comme une "sonnette d'alarme", mais plus comme un "conte de fée" ('fin sans le côté féerique, l'expression "fairy tale" est peut-être plus juste), assez loin de ses priorités quotidiennes.
(via https://tech-services.fr/shartech/?Q9PIkw) #cyberpunk
EDIT : http://www.wired.com/2014/08/no-dystopian-sci-fi-isnt-bad-for-society-we-actually-need-it-more-than-ever/ (via http://links.neros.fr/?trTglA)
Par contre, à part 1984 et Minority Report (cité tous 2 à tord et à travers), j'ai pas toujours l'impression que le "quidam" voit les dystopies comme une "sonnette d'alarme", mais plus comme un "conte de fée" ('fin sans le côté féerique, l'expression "fairy tale" est peut-être plus juste), assez loin de ses priorités quotidiennes.
(via https://tech-services.fr/shartech/?Q9PIkw) #cyberpunk
EDIT : http://www.wired.com/2014/08/no-dystopian-sci-fi-isnt-bad-for-society-we-actually-need-it-more-than-ever/ (via http://links.neros.fr/?trTglA)
Une conférence TED de Brewster Kahle, le fondateur de archive.org.
(via http://sebsauvage.net/links/?YcYX6A)
(via http://sebsauvage.net/links/?YcYX6A)
Bonne nouvelle. :))
(via http://sebsauvage.net/links/?YcYX6A)
Sur le même sujet : http://www.nextinpact.com/news/89571-internet-archive-met-26-millions-d-images-domaine-public-sur-flickr.htm
(via http://sebsauvage.net/links/?YcYX6A)
Sur le même sujet : http://www.nextinpact.com/news/89571-internet-archive-met-26-millions-d-images-domaine-public-sur-flickr.htm
Extrait : « Cela fait quelques années que le festival Burning Man est victime du syndrome du c'était-mieux-avant. Il semblerait que l'on soit passé à une toute autre étape. La faute aux techos millionaires (milliardaires ?) de la Silicon Valley. »
Bon rien de nouveau, à chaque fois qu'une contre-culture devient "hype", elle en est devient insipide et vidé de son sens.
Et je connaissais pas, mais il parait qu'il y a un mini clone en Espagne, le Nowhere (http://www.goingnowhere.org/fr/).
EDIT : http://www.boston.com/bigpicture/2014/09/burning_man_2014.html
http://www.ufunk.net/photos/burning-man/
EDIT² : http://voyagerloin.com/victor-habchy-revient-du-burning-man-festival-et-nous-offre-des-images-d-un-autre-monde.html
Bon rien de nouveau, à chaque fois qu'une contre-culture devient "hype", elle en est devient insipide et vidé de son sens.
Et je connaissais pas, mais il parait qu'il y a un mini clone en Espagne, le Nowhere (http://www.goingnowhere.org/fr/).
EDIT : http://www.boston.com/bigpicture/2014/09/burning_man_2014.html
http://www.ufunk.net/photos/burning-man/
EDIT² : http://voyagerloin.com/victor-habchy-revient-du-burning-man-festival-et-nous-offre-des-images-d-un-autre-monde.html
Ça me fascine ce trip d'exception culturelle française. Outre le côté égocentrique de l'expression, ça peut se résumer à "on sait qu'on a une industrie culturelle qui se pâme dans la merde mais faudrait quand même que les Français en bouffent".
J'ai une solution plus radicale. Arrêter d'en produire des merdes.
Pour citer ce que je disais ailleurs : "Quand les Anglais ont Dr Who, Misfits, Sherlock ou Black Mirror, nous nous avons Julie Lescaux, Navarro et les Cordiers. Certains appellent ça l'exception culturelle française."
J'ai une solution plus radicale. Arrêter d'en produire des merdes.
Pour citer ce que je disais ailleurs : "Quand les Anglais ont Dr Who, Misfits, Sherlock ou Black Mirror, nous nous avons Julie Lescaux, Navarro et les Cordiers. Certains appellent ça l'exception culturelle française."
Extrait : « Qui sont ces milliers de wikipédiens français, contributeurs de "l'encyclopédie libre" lancée en 2001 et devenue l'un des sites cultes de la Toile? Ils forment une fourmilière de bénévoles, passionnés, cultivés et parfois militants. Visite d'une étrange tribu avec ses lois et ses clans, ses rites et ses querelles. »
Extrait : « Le 4 juillet, Materia Prima, la troupe historique des cultures alternatives basée à Maxéville (Meurthe-et-Moselle), était mise en liquidation judiciaire. Consternation et colère : une pétition citoyenne a déjà rassemblé près de 8 000 signatures. En cause, des subventions qui, bien que votées, ne sont pas arrivées à temps, alors que la compagnie de théâtre performance était déjà fragilisée par un redressement en juin 2013 et un déficit de 105 000 euros. »
Et une interview de Didier Manuel, co-fondateur et directeur artistique du Totem : http://vimeo.com/100353614
Et une interview de Didier Manuel, co-fondateur et directeur artistique du Totem : http://vimeo.com/100353614
Extrait : « Dès les années 90, de grandes franchises telles que "Final Fantasy" et surtout "Pokemon" ont démontré l'étonnante facilité avec laquelle le Japon intégrait la notion de transmedia. A vrai dire, ces flux, cette interdépendance, cette porosité entre les médias, la culture pop japonaise l'expérimentait depuis les années 60. Et s'il y avait au Japon, et plus particulièrement dans sa religion shintoïste, des clés pour comprendre cette inclinaison à mieux appréhender "la place des éléments dans le Grand Tout" ? »
Extrait : « Étymologiquement, publier signifie « rendre public ». C’est un fait. Vous pouvez choisir de diffuser confidentiellement une création à l’unique condition de faire confiance aux heureux élus qui composent votre public restreint. Mais à partir du moment où vous choisissez de publier une œuvre, celle-ci est publique. Elle fait partie du patrimoine culturel de l’humanité. Si cela ne vous convient pas, abstenez-vous de publier. »
J'adore ce paragraphe. Et pour faire écho au récent foin qu'il y a eu autour de la copie de certains shaarlinks sur G+, la copie n'empêche pas le respect de l'auteur, notamment en le créditant. :)
J'adore ce paragraphe. Et pour faire écho au récent foin qu'il y a eu autour de la copie de certains shaarlinks sur G+, la copie n'empêche pas le respect de l'auteur, notamment en le créditant. :)
Aldebert explique en 2'30 le métier d'intermittent.
/HS. Bon, c'est pas la révélation, mais ça m'a (re)sauté à la gueule en matant la vidéo -> Le sacro saint disque m’apparaît définitivement comme un outil promotionnel du spectacle et du concert (même si ce n'est pas que ça, on est d'accord).
/HS. Bon, c'est pas la révélation, mais ça m'a (re)sauté à la gueule en matant la vidéo -> Le sacro saint disque m’apparaît définitivement comme un outil promotionnel du spectacle et du concert (même si ce n'est pas que ça, on est d'accord).
Extrait : « Derrière les quelques stars qui vivent très confortablement de leur art, l'écrasante majorité des auteurs de BD peinent à gagner le smic. »
Et la lettre ouverte à la ministre de la culture : http://www.huffingtonpost.fr/christophe-arleston/retraite-auteurs-de-bande-dessinee-lettre-ouverte-a-la-ministre-de-la-culture_b_5478772.html
EDIT : http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2014/06/07/les-auteurs-bd-cachent-mourir-252735 (via https://www.mypersonnaldata.eu/shaarli/?ek94Fw)
Et la lettre ouverte à la ministre de la culture : http://www.huffingtonpost.fr/christophe-arleston/retraite-auteurs-de-bande-dessinee-lettre-ouverte-a-la-ministre-de-la-culture_b_5478772.html
EDIT : http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2014/06/07/les-auteurs-bd-cachent-mourir-252735 (via https://www.mypersonnaldata.eu/shaarli/?ek94Fw)
Extrait : « Il n'y a pas qu'Internet pour s'échanger des contenus culturels : si le passage de main à main fonctionne encore très bien, un petit outil apparu en 2012 permet de mettre sur pied son propre réseau d'échange de fichiers. Les Pirates Box, dans une version simplifiée et plus efficace, sont de retour, avec de solides arguments de leur côté : la garantie que le réseau ne sera pas surveillé, particulièrement par la tristement célèbre NSA... »
Une sélection d'articles parus sur actualitte.com pour le DRMDay. Pas mal d'intervenants me laissent l'arrière goût d'avoir écrit un article "promotion" pour sa maison d'édition. J'aurais aimé voir plus de textes d'auteurs que d'éditeurs.
* Noël Pampagnin, un auteur et développeur qui n'aime pas les DRM, mais qui veut quand même que les œuvres soient protégées, il a donc créé... un autre DRM (Adonsuite). Je dis bravo. >.<
http://www.actualitte.com/usages/drmday-le-choix-revient-aux-detenteurs-des-droits-d-auteur-49901.htm
* David Queffélec, des éditions Multivers, fait l'apologie du watermark. Pour ma part, j'achète des bouquins watermarkés, mais j'aime pas trop ça non plus (même si ça se supprime aussi). Quand j'achète un bouquin en .pap chez le libraire du coin, j'ai pas mon nom, ou autre ID unique, noté sur la 2ème de couverture (ou la couverture). Faut faire gaffe d'ailleurs, certaines boutiques (je pense à Numilog) affiche un "sans DRM" sur leurs livres watermarkés, alors que d'autres (Feedbooks, immateriel.fr) annoncent très clairement les fichiers avec watermark.
http://www.actualitte.com/usages/drmday-non-ce-n-est-pas-obligatoire-il-y-a-des-solutions-alternatives-49961.htm
* Je garde ce court article de Lilian Ronchaud des éditions L'ivre-Book pour cette phrase qu'il faudra que je ressorte : « Numérique ou en papier, un livre est ce qu'on lit et non pas ce qu'on touche. »
http://www.actualitte.com/usages/drmday-un-livre-est-ce-qu-on-lit-et-non-pas-ce-qu-on-touche-49921.htm
* Nicolas Cartelet, oppose avec tact les antis et les pro-DRM et s'étonne que des gens soient contre les watermarks.
http://www.actualitte.com/usages/drmday-une-protection-aussi-restrictive-semble-contre-productive-49922.htm
* Sybille, éditrice et auteure des éditions Les Vagabonds du Rêve, pensent que les DRM sont un manque de respect pour le lecteur. Bah oui, +1.
http://www.actualitte.com/usages/drmday-un-manque-de-respect-pour-le-lecteur-49829.htm
* Jean-François Gayrard des Éditions numeriklivres, se demande « pourquoi vouloir se comporter avec du numérique, du "dématérialisé" comme avec du matériel ». Je suis d'accord avec lui, un fichier numérique ne se prête pas puisque "prêter" implique qu'on nous rende le bien. L'idée est débile sur un fichier numérique. Par contre, je suis désolé pour lui, personnellement, je partage volontiers mes fichiers avec une poignée de proche (et seulement avec eux).
http://www.actualitte.com/usages/drmday-preter-un-ebook-n-est-pas-un-geste-responsable-49969.htm
(EDIT : En réponse à l'article : http://leschosesdites.wordpress.com/2014/05/08/quelle-valeur-pour-limmateriel-le-cas-du-livre-numerique/ et http://page42.org/le-partage-en-question-peut-on-preter-un-ebook/)
Personnellement, ce qui "m'étonne" dans le marché des produits culturels numériques, c'est que le "peuple" (au sens large du terme) a acquis massivement une pratique (le téléchargement illégal) qu'une poignée "d'élites" essayent de réguler. Je trouve que quelque part, ça pose une question de souveraineté (j'ai pas de partie pris tranché sur la question, mais je trouve qu'elle a le mérite d'être posée, au moins pour réflexion).
* Noël Pampagnin, un auteur et développeur qui n'aime pas les DRM, mais qui veut quand même que les œuvres soient protégées, il a donc créé... un autre DRM (Adonsuite). Je dis bravo. >.<
http://www.actualitte.com/usages/drmday-le-choix-revient-aux-detenteurs-des-droits-d-auteur-49901.htm
* David Queffélec, des éditions Multivers, fait l'apologie du watermark. Pour ma part, j'achète des bouquins watermarkés, mais j'aime pas trop ça non plus (même si ça se supprime aussi). Quand j'achète un bouquin en .pap chez le libraire du coin, j'ai pas mon nom, ou autre ID unique, noté sur la 2ème de couverture (ou la couverture). Faut faire gaffe d'ailleurs, certaines boutiques (je pense à Numilog) affiche un "sans DRM" sur leurs livres watermarkés, alors que d'autres (Feedbooks, immateriel.fr) annoncent très clairement les fichiers avec watermark.
http://www.actualitte.com/usages/drmday-non-ce-n-est-pas-obligatoire-il-y-a-des-solutions-alternatives-49961.htm
* Je garde ce court article de Lilian Ronchaud des éditions L'ivre-Book pour cette phrase qu'il faudra que je ressorte : « Numérique ou en papier, un livre est ce qu'on lit et non pas ce qu'on touche. »
http://www.actualitte.com/usages/drmday-un-livre-est-ce-qu-on-lit-et-non-pas-ce-qu-on-touche-49921.htm
* Nicolas Cartelet, oppose avec tact les antis et les pro-DRM et s'étonne que des gens soient contre les watermarks.
http://www.actualitte.com/usages/drmday-une-protection-aussi-restrictive-semble-contre-productive-49922.htm
* Sybille, éditrice et auteure des éditions Les Vagabonds du Rêve, pensent que les DRM sont un manque de respect pour le lecteur. Bah oui, +1.
http://www.actualitte.com/usages/drmday-un-manque-de-respect-pour-le-lecteur-49829.htm
* Jean-François Gayrard des Éditions numeriklivres, se demande « pourquoi vouloir se comporter avec du numérique, du "dématérialisé" comme avec du matériel ». Je suis d'accord avec lui, un fichier numérique ne se prête pas puisque "prêter" implique qu'on nous rende le bien. L'idée est débile sur un fichier numérique. Par contre, je suis désolé pour lui, personnellement, je partage volontiers mes fichiers avec une poignée de proche (et seulement avec eux).
http://www.actualitte.com/usages/drmday-preter-un-ebook-n-est-pas-un-geste-responsable-49969.htm
(EDIT : En réponse à l'article : http://leschosesdites.wordpress.com/2014/05/08/quelle-valeur-pour-limmateriel-le-cas-du-livre-numerique/ et http://page42.org/le-partage-en-question-peut-on-preter-un-ebook/)
Personnellement, ce qui "m'étonne" dans le marché des produits culturels numériques, c'est que le "peuple" (au sens large du terme) a acquis massivement une pratique (le téléchargement illégal) qu'une poignée "d'élites" essayent de réguler. Je trouve que quelque part, ça pose une question de souveraineté (j'ai pas de partie pris tranché sur la question, mais je trouve qu'elle a le mérite d'être posée, au moins pour réflexion).
Extrait : « Il y a bien des titres majeurs de ces 30 dernières années auxquels on peut associer le nom de Mamoru Oshii. Pourtant, le personnage et son œuvre divise, déplait parfois par son approche très contemplative du cinéma. Là où certains adulent son travail, d’autres y ajouteront des qualificatifs peu élogieux, tels que « prétentieux » ou « ennuyeux ». Bien qu’il me soit difficile de cautionner ce type d’allégation, il est toutefois exact que son travail n’est pas simple d’accès, et laisse donc beaucoup de gens sur le côté de la route. »
Présentation du bonhomme et de quelques une de ses oeuvres.
Avalon -> <3
Présentation du bonhomme et de quelques une de ses oeuvres.
Avalon -> <3
Extrait : « Pour ceux qui n'ont jamais eu l'occasion d'avoir de cours de littérature sur le plus grand maître des lettres anglaises, le site Open culturea mis en ligne de nombreux cours de littérature dédiés à Shakespeare. »
Extrait : « C’est une ville qui bouge beaucoup, surtout en musique. Il y a tellement de festivals ! On sent vraiment qu’il y a l’espace pour mettre en place des projets. La ville regorge de lieux de productions scéniques, faciles d’accès et pas chers : quand tu es un artiste émergent, tu peux facilement te produire. »
Extrait : « Le premier âge d’or du Net est derrière nous. Aujourd’hui, le bruit médiatique est si intense que seules les stars réussissent à se faire entendre notoirement. (...) Les gagnants écrasent désormais non seulement les perdants mais aussi tous ceux qui ne sont pas superstars. La situation est même pire qu’avant l’ouverture du Net au grand public. Qu’est-ce qui a foiré ? (...) La réponse est simple. À l’origine, le Net était décentralisé. Google est depuis devenu le seul point d’accès de cette galaxie, déclenchant une bataille pour le référencement que seuls les géants peuvent se payer. (...) C’est inquiétant parce qu’un manque de curiosité pour les idées et les arts de traverse, implique une normalisation de la pensée, donc de la politique. »
Le titre est tape à l’œil, mais l'article tape quand même juste. C'est vrai qu'au cours de ces 5 ou 6 dernières années, ya quelque chose qui a vraiment changé sur le net. Je pense que ce serait peut-être un peu simpliste de mettre ça en parallèle avec le "retournement de veste" de Google et son abandon du "Don't be evil", mais quand même. En tous cas, je plussoie fortement sa phrase sur le manque de curiosité.
Et comme Sammy le souligne, c'est à mettre en corrélation avec l'article de Cyrille Borne : http://cyrille-borne.com/post/2014/03/08/bienvenue-dans-lunderground-fier-dy-etre
L'article de Slate qui parle de cette étude : http://www.slate.fr/culture/84277/internet-popstars-longue-traine-economie
(via https://sammyfisherjr.net/Shaarli/?u_1MPQ)
Le titre est tape à l’œil, mais l'article tape quand même juste. C'est vrai qu'au cours de ces 5 ou 6 dernières années, ya quelque chose qui a vraiment changé sur le net. Je pense que ce serait peut-être un peu simpliste de mettre ça en parallèle avec le "retournement de veste" de Google et son abandon du "Don't be evil", mais quand même. En tous cas, je plussoie fortement sa phrase sur le manque de curiosité.
Et comme Sammy le souligne, c'est à mettre en corrélation avec l'article de Cyrille Borne : http://cyrille-borne.com/post/2014/03/08/bienvenue-dans-lunderground-fier-dy-etre
L'article de Slate qui parle de cette étude : http://www.slate.fr/culture/84277/internet-popstars-longue-traine-economie
(via https://sammyfisherjr.net/Shaarli/?u_1MPQ)