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culture
Extrait : « [L'Entertainment Software Association (ESA)] considère le travail des chercheurs et autres historiens comme un « hacking » et donc comme quelque chose d'illégal. »
Extrait : « La photographie est enfin autorisée au musée d’Orsay ! [...] Rien ne serait arrivé sans une innocente photo d’une peinture de Pierre Bonnard publiée récemment sur Internet par Fleur Pellerin. L’histoire est doublement cocasse car Pierre Bonnard n’est pas encore dans le domaine public et Madame la ministre s’est ainsi mise involontairement en situation de... contrefaçon ! »
Le lien vers l'article de Rue89 : http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2015/03/17/photos-interdites-musee-dorsay-sauf-fleur-pellerin-258236
Le lien vers l'article de Rue89 : http://rue89.nouvelobs.com/rue89-culture/2015/03/17/photos-interdites-musee-dorsay-sauf-fleur-pellerin-258236
Pas encore pris le temps de lire ça en entier.
La part 2 : http://lmsi.net/Folk-sexe-race-classe
La part 3 : http://lmsi.net/Folk-revivals
Le site dont il est question : http://www.folkpolitik.ml/ (je cite Riff (http://www.seven-ash-street.fr/links/?TAwYQw) : « Chaque jour une chanson issue de l'immense répertoire Folk, avec son texte et un petit commentaire explicatif... une vraie mine d'or » )
Merci Riff. :)
(via http://www.seven-ash-street.fr/links/?r3yUeA)
La part 2 : http://lmsi.net/Folk-sexe-race-classe
La part 3 : http://lmsi.net/Folk-revivals
Le site dont il est question : http://www.folkpolitik.ml/ (je cite Riff (http://www.seven-ash-street.fr/links/?TAwYQw) : « Chaque jour une chanson issue de l'immense répertoire Folk, avec son texte et un petit commentaire explicatif... une vraie mine d'or » )
Merci Riff. :)
(via http://www.seven-ash-street.fr/links/?r3yUeA)
Extrait : « Katsushika Hokusai, artiste de génie, ne cessa sa vie durant, de créer des œuvres d’une grande originalité. Son nom est souvent lié à celui de sa célèbre Manga qui a profondément inspiré les artistes des générations suivantes, les peintres contemporains comme les mangakas, c'est-à-dire les dessinateurs de bandes dessinées japonaises contemporaines. Quelle fut l’influence que continue encore d’exercer Hokusai sur l’art de son pays ?
Conférence de Brigitte Koyama-Richard, professeur à l’université Musashi, Tokyo. »
La conférence est écoutable sur Soundcloud : https://soundcloud.com/rmngrandpalais/hokusai-et-lorigine-des-mangas (tiens ya plus de moyen simple de sauvegarder les trucs de Soundcloud ?)
EDIT : Copie de sauvegarde : http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/conference-hokusai-et-lorigine-des-mangas.mp3 (59mo, 1h)
EDIT² : Bon, c'est intéressant, mais en audio, on loupe des trucs. :s
EDIT³ : https://soundcloud.com/rmngrandpalais/sets/hokusai
Conférence de Brigitte Koyama-Richard, professeur à l’université Musashi, Tokyo. »
La conférence est écoutable sur Soundcloud : https://soundcloud.com/rmngrandpalais/hokusai-et-lorigine-des-mangas (tiens ya plus de moyen simple de sauvegarder les trucs de Soundcloud ?)
EDIT : Copie de sauvegarde : http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/conference-hokusai-et-lorigine-des-mangas.mp3 (59mo, 1h)
EDIT² : Bon, c'est intéressant, mais en audio, on loupe des trucs. :s
EDIT³ : https://soundcloud.com/rmngrandpalais/sets/hokusai
Astier s'exprime autour de 5 thèmes, le spectacle vivant, le cinéma, les arts plastiques, la musique et la littérature.
http://www.franceculture.fr/emission-l-invite-e-de-la-dispute-cinema-les-choix-d-alexandre-astier-2014-09-30
http://www.franceculture.fr/emission-l-invite-e-de-la-dispute-arts-plastiques-les-choix-d-alexandre-astier-2014-10-01
http://www.franceculture.fr/emission-l-invite-e-de-la-dispute-musiques-les-choix-d-alexandre-astier-2014-10-02
http://www.franceculture.fr/emission-l-invite-e-de-la-dispute-litterature-les-choix-d-alexandre-astier-2014-10-03
Les copies de sauvegarde :
http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/france-culture-invité-e-dispute.2014.09.29-astier-spectacle-vivant.mp3 (5.4mo, 5")
http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/france-culture-invité-e-dispute.2014.09.30-astier-cinema.mp3 (5mo, 5")
http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/france-culture-invité-e-dispute.2014.10.01-astier-arts-plastiques.mp3 (5.4mo, 5")
http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/france-culture-invité-e-dispute.2014.10.02-astier-musique.mp3 (6.6mo, 7")
http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/france-culture-invité-e-dispute.2014.10.03-astier-litterature.mp3 (6.5mo, 7")
http://www.franceculture.fr/emission-l-invite-e-de-la-dispute-cinema-les-choix-d-alexandre-astier-2014-09-30
http://www.franceculture.fr/emission-l-invite-e-de-la-dispute-arts-plastiques-les-choix-d-alexandre-astier-2014-10-01
http://www.franceculture.fr/emission-l-invite-e-de-la-dispute-musiques-les-choix-d-alexandre-astier-2014-10-02
http://www.franceculture.fr/emission-l-invite-e-de-la-dispute-litterature-les-choix-d-alexandre-astier-2014-10-03
Les copies de sauvegarde :
http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/france-culture-invité-e-dispute.2014.09.29-astier-spectacle-vivant.mp3 (5.4mo, 5")
http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/france-culture-invité-e-dispute.2014.09.30-astier-cinema.mp3 (5mo, 5")
http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/france-culture-invité-e-dispute.2014.10.01-astier-arts-plastiques.mp3 (5.4mo, 5")
http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/france-culture-invité-e-dispute.2014.10.02-astier-musique.mp3 (6.6mo, 7")
http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/france-culture-invité-e-dispute.2014.10.03-astier-litterature.mp3 (6.5mo, 7")
Extrait : « La marchandisation des musées, néologisme signifiant que les musées ne sont plus considérés que comme des sources de revenus, vient au Louvre de franchir un pas de plus.
[...]
Vendre de la camelote au lieu de présenter les œuvres d’art qu’il conserve, en réalité voilà une innovation du Louvre dont on peut craindre hélas qu’elle fera école. La seule nouvelle amusante, c’est qu’il paraît que la fauche y est déjà importante. Preuve que le Louvre répond bien, ainsi, « aux attentes du public ». »
[...]
Vendre de la camelote au lieu de présenter les œuvres d’art qu’il conserve, en réalité voilà une innovation du Louvre dont on peut craindre hélas qu’elle fera école. La seule nouvelle amusante, c’est qu’il paraît que la fauche y est déjà importante. Preuve que le Louvre répond bien, ainsi, « aux attentes du public ». »
La fan fiction en tant « qu'outil de socialisation déculpabilisant ».
À propos de ce que j'appelle la culture fast-food (pour éviter la confusion avec la culture qui tourne autour de l'indus -> https://fr.wikipedia.org/wiki/Musique_industrielle)
Reste que dans l'ensemble, l'article exprime bien ce que je pense quand je dis que je regrette le jour où l'on a accolé les mots "industries" et "culturelles".
Reste que dans l'ensemble, l'article exprime bien ce que je pense quand je dis que je regrette le jour où l'on a accolé les mots "industries" et "culturelles".
« du lossless de préférence pour l’audio » -> personnellement, c'est du lossless exclusivement pour de l'audio. Payer le prix (ou presque) d'un album physique pour des fichiers dégradés, non merci, c'est de l'arnaque. Et je veux pouvoir encoder mon truc en ogg, en mp3 ou dans le format que je veux/dont j'ai besoin.
Sinon, je plussoie. Dans les plateformes web vraiment simples à utiliser, je citerai juste Bandcamp pour la musique (majoritairement des indés, streaming gratuit, téléchargement des fichiers à l'achat dans le format que l'on veut), et Feedbooks ou Immateriel.fr pour les livres (et même si on trouve des DRMs et des prix indécents sur ces sites, ce n'est pas du choix de la plateforme. Feedbooks a d'ailleurs un espace dédié au domaine public et à l'auto-édition et ils ont même des flux RSS pour tous les tags/éditeurs/auteurs que l'on veut, faut juste pas oublier de sélectionner par "nouveautés").
EDIT : « J'ai discuté avec quelqu'un il y a peu en donnant le même genre d'arguments et il m'a répondu que j'étais "matérialiste" de vouloir garder la main sur mes fichiers... :-| » (http://links.simonlefort.be/?ZFLENQ)
Ah ouais. oO
Sinon, je plussoie. Dans les plateformes web vraiment simples à utiliser, je citerai juste Bandcamp pour la musique (majoritairement des indés, streaming gratuit, téléchargement des fichiers à l'achat dans le format que l'on veut), et Feedbooks ou Immateriel.fr pour les livres (et même si on trouve des DRMs et des prix indécents sur ces sites, ce n'est pas du choix de la plateforme. Feedbooks a d'ailleurs un espace dédié au domaine public et à l'auto-édition et ils ont même des flux RSS pour tous les tags/éditeurs/auteurs que l'on veut, faut juste pas oublier de sélectionner par "nouveautés").
EDIT : « J'ai discuté avec quelqu'un il y a peu en donnant le même genre d'arguments et il m'a répondu que j'étais "matérialiste" de vouloir garder la main sur mes fichiers... :-| » (http://links.simonlefort.be/?ZFLENQ)
Ah ouais. oO
Effectivement, comme le disait Sunde, c'est sans fin. >.<
Et sans vouloir faire de l'anti-américanisme primaire, la majorité de ce qui est décrit dans l'article va surtout en faveur des GAFA et des industries culturelles américaines.
EDIT : En survolant les commentaires, il y a 2 liens que je n'ai pas pris le temps de lire mais que je mets de côté ici (plus facile à retrouver pour plus tard).
"Le traité transatlantique, un typhon qui menace les Européens" : http://www.monde-diplomatique.fr/2013/11/WALLACH/49803
"Accords de libre échange et OGM : quand Monsanto dicte sa loi" : http://blogs.mediapart.fr/blog/benjamin-sourice/140813/accords-de-libre-echange-et-ogm-quand-monsanto-dicte-sa-loi
Et sans vouloir faire de l'anti-américanisme primaire, la majorité de ce qui est décrit dans l'article va surtout en faveur des GAFA et des industries culturelles américaines.
EDIT : En survolant les commentaires, il y a 2 liens que je n'ai pas pris le temps de lire mais que je mets de côté ici (plus facile à retrouver pour plus tard).
"Le traité transatlantique, un typhon qui menace les Européens" : http://www.monde-diplomatique.fr/2013/11/WALLACH/49803
"Accords de libre échange et OGM : quand Monsanto dicte sa loi" : http://blogs.mediapart.fr/blog/benjamin-sourice/140813/accords-de-libre-echange-et-ogm-quand-monsanto-dicte-sa-loi
La belle complaisance d'un secteur qui se dit "en crise".
Je hais le jour où l'on a accolé les mots "industries" et "culturelles"
Je hais le jour où l'on a accolé les mots "industries" et "culturelles"
Aperçu des 12 principes de base de l'animation. (https://fr.wikipedia.org/wiki/12_principes_de_base_de_l%27animation)
Et la 2nde partie plus spécifiquement aux jeux vidéo : https://fr.wikipedia.org/wiki/12_principes_de_base_de_l%27animation
Et la 2nde partie plus spécifiquement aux jeux vidéo : https://fr.wikipedia.org/wiki/12_principes_de_base_de_l%27animation
Transcription d'un excellent discours de Steve Albini (Shellac, producteur de plus d'un millier de disques dont Nirvana, les Pixies, Neurosis, etc.) autour de l'état du marché de la musique pré et post internet. C'est très complet, tout y passe, les maisons de disques parasites et limites mafieuses, les artistes sous-payés, le CD qui devient un outil de promotion du live alors que c'était l'inverse auparavant, le copyright madness, le domaine public et j'en oublie.
C'est long mais c'est vraiment à lire. Et comme me le disait un pote, ce sont effectivement pas mal de choses dont bcp étaient déjà conscients, mais l'entendre de la bouche d'un professionnel de la musique aussi accompli qu'Albini, ça fait du bien.
Quelques extraits tout de même :
« (Les coûts) engendrés par la fabrication d’un disque n’étaient pas pris en charge par les labels, si ce n’est au tout début du projet, mais étaient amortis et récupérés sur les revenus que les groupes tiraient de leurs royalties. (...) En fait, toute dépense qui pouvait être associée à un groupe ou un disque était finalement payée par le groupe, et non par le label. En optant pour le CD plutôt que le vinyle comme support dominant, les labels ont pu facilement vendre un objet pratique, compact, que l’on puisse écouter sans problème. Leurs marges bénéficiaires ont alors explosé et – le CD se vendant deux fois plus cher que le vinyle alors que ses coûts de fabrication, d’envoi et de stockage étaient bien moindre – l’argent coulait à flot. »
« De deux choses l’une: soit l’argent était donné en termes de royalties au groupe qui l’aurait dépensé en dehors du système, dans des maisons, de l’alimentaire ou dans des études; soit il était offert à d’autres intervenants de l’industrie, ce qui ne faisait qu’accroitre l’influence et le prestige du généreux donateur. C’est comme si votre patron, plutôt que de vous donner votre salaire, le filait en votre nom à des amis ou des associés. »
« Vous avez peut être remarqué que, dans ma description du marché de masse et de l’industrie de l’ère pré-internet, j’ai peu fait allusion au public et aux groupes. Ces deux extrémités du spectre étaient alors difficilement considérées par le reste du business. »
« Il y a quelques années, mon groupe a monté une tournée en Europe de l’Est. Nous sommes allés en République Tchèque, en Pologne, en Croatie, en Slovénie, en Macédoine, en Bulgarie, jusqu’en Turquie. (...) On a joué devant des salles combles, de même taille qu’ailleurs, et le public semblait familier avec notre musique. La grosse différence est que chacune des villes visitées n’a littéralement jamais vendu le moindre de nos disques. 100% de notre renommée là-bas s’est faite de manière informelle, par le biais d’internet ou de la main à la main. »
« L’ancien système était pensé par l’industrie dans le but de servir ses propres pions. Le nouveau, celui ou la musique est partagée de manière informelle et ou les groupes sont en contact direct avec leurs fans, l’a été par les groupes et les fans, sur le modèle de l’ancien underground. »
« En parallèle, les revenus des groupes générés par le live ont également augmenté. Le mien, par exemple, joue depuis 20 ans dans quasiment toujours les mêmes salles. Je devine que vous vous dites que notre public en a marre, pourtant certaines d’entre elles nous payent plus qu’il y a 10 ou 15 ans. Il arrive qu’on nous paye maintenant 4000 ou 5000 quand elles nous payaient 400 ou 500. »
« Les consommateurs (...) est ce qu’ils ont déjà eu leur mot à dire quand leur musique a été compressée, taguée, protégée contre la copie, ou rendue effaçable? Est ce qu’ils ont eu le choix quand iTunes a automatiquement téléchargé le nouvel album de U2 dans leur discothèque? Bien sûr que non. Toutes ces choses ont été décidées, et nous avons dû nous y soumettre. N’avoir plus qu’à se plaindre ou se rebeller n’est pas la même chose que d’être impliqué dans des décisions. »
« Je ne pleure donc pas la perte de ces grands bureaux inefficaces qui ont disparu durant cette mutation, même si je suppose que certaines personnes sont au chômage. Mais il s’est passé la même chose quand l’automobile a remplacé le cheval: tous les forgerons ont dû s’adapter, passer leur temps à faire des portes de jardin plutôt de des fers de chevaux. »
(via http://links.aurem.org/?uPO2FQ)
C'est long mais c'est vraiment à lire. Et comme me le disait un pote, ce sont effectivement pas mal de choses dont bcp étaient déjà conscients, mais l'entendre de la bouche d'un professionnel de la musique aussi accompli qu'Albini, ça fait du bien.
Quelques extraits tout de même :
« (Les coûts) engendrés par la fabrication d’un disque n’étaient pas pris en charge par les labels, si ce n’est au tout début du projet, mais étaient amortis et récupérés sur les revenus que les groupes tiraient de leurs royalties. (...) En fait, toute dépense qui pouvait être associée à un groupe ou un disque était finalement payée par le groupe, et non par le label. En optant pour le CD plutôt que le vinyle comme support dominant, les labels ont pu facilement vendre un objet pratique, compact, que l’on puisse écouter sans problème. Leurs marges bénéficiaires ont alors explosé et – le CD se vendant deux fois plus cher que le vinyle alors que ses coûts de fabrication, d’envoi et de stockage étaient bien moindre – l’argent coulait à flot. »
« De deux choses l’une: soit l’argent était donné en termes de royalties au groupe qui l’aurait dépensé en dehors du système, dans des maisons, de l’alimentaire ou dans des études; soit il était offert à d’autres intervenants de l’industrie, ce qui ne faisait qu’accroitre l’influence et le prestige du généreux donateur. C’est comme si votre patron, plutôt que de vous donner votre salaire, le filait en votre nom à des amis ou des associés. »
« Vous avez peut être remarqué que, dans ma description du marché de masse et de l’industrie de l’ère pré-internet, j’ai peu fait allusion au public et aux groupes. Ces deux extrémités du spectre étaient alors difficilement considérées par le reste du business. »
« Il y a quelques années, mon groupe a monté une tournée en Europe de l’Est. Nous sommes allés en République Tchèque, en Pologne, en Croatie, en Slovénie, en Macédoine, en Bulgarie, jusqu’en Turquie. (...) On a joué devant des salles combles, de même taille qu’ailleurs, et le public semblait familier avec notre musique. La grosse différence est que chacune des villes visitées n’a littéralement jamais vendu le moindre de nos disques. 100% de notre renommée là-bas s’est faite de manière informelle, par le biais d’internet ou de la main à la main. »
« L’ancien système était pensé par l’industrie dans le but de servir ses propres pions. Le nouveau, celui ou la musique est partagée de manière informelle et ou les groupes sont en contact direct avec leurs fans, l’a été par les groupes et les fans, sur le modèle de l’ancien underground. »
« En parallèle, les revenus des groupes générés par le live ont également augmenté. Le mien, par exemple, joue depuis 20 ans dans quasiment toujours les mêmes salles. Je devine que vous vous dites que notre public en a marre, pourtant certaines d’entre elles nous payent plus qu’il y a 10 ou 15 ans. Il arrive qu’on nous paye maintenant 4000 ou 5000 quand elles nous payaient 400 ou 500. »
« Les consommateurs (...) est ce qu’ils ont déjà eu leur mot à dire quand leur musique a été compressée, taguée, protégée contre la copie, ou rendue effaçable? Est ce qu’ils ont eu le choix quand iTunes a automatiquement téléchargé le nouvel album de U2 dans leur discothèque? Bien sûr que non. Toutes ces choses ont été décidées, et nous avons dû nous y soumettre. N’avoir plus qu’à se plaindre ou se rebeller n’est pas la même chose que d’être impliqué dans des décisions. »
« Je ne pleure donc pas la perte de ces grands bureaux inefficaces qui ont disparu durant cette mutation, même si je suppose que certaines personnes sont au chômage. Mais il s’est passé la même chose quand l’automobile a remplacé le cheval: tous les forgerons ont dû s’adapter, passer leur temps à faire des portes de jardin plutôt de des fers de chevaux. »
(via http://links.aurem.org/?uPO2FQ)
Un livre à propos des « industries culturelles face au numérique ». Par contre, quand le résumé du bouquin débute par « Pour retrouver le chemin de (...) la croissance », je me dis que ça commence mal.
Pis il est vendu avec DRM, donc je n'aurai aucun scrupule à le choper ailleurs, si je le trouve.
Pis il est vendu avec DRM, donc je n'aurai aucun scrupule à le choper ailleurs, si je le trouve.
Extrait : « Du 6 novembre 2014 au 15 février 2015, l’art de l’amour au temps des geishas, avec des chefs-d’œuvre d’Utamaro à Hokusaï et Hiroshige. »
Voir aussi : "Le Japon dans sa culture de l'érotisme à la Pinacothèque" https://www.youtube.com/watch?v=WvPiu5o1YsI
Voir aussi : "Le Japon dans sa culture de l'érotisme à la Pinacothèque" https://www.youtube.com/watch?v=WvPiu5o1YsI
Extrait : « Dans le discours de la ministre, le seul objectif pour ses services serait de travailler à glisser parmi lesdits produits culturels dominants le plus possible d’objets made in France. Cela s’appelle une politique commerciale, pas une politique culturelle. »
Article beaucoup plus intéressant que cette fausse polémique autour de Pellerin et Modiano.
Article beaucoup plus intéressant que cette fausse polémique autour de Pellerin et Modiano.