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surveillance
« "Coded Bias" follows researcher and digital activist Joy Buolamwini who explores racial bias in facial recognition technology »
https://www.imdb.com/title/tt11394170/
https://www.imdb.com/title/tt11394170/
Article de 2019
« Here's Amazon's pitch: Landlord Alexa "makes it easy for property managers to set up and manage Alexa-powered smart home experiences throughout their buildings."
Satire is dead. Poe's Law rules all.
Landlord Alexa incorporates special commands that "let their residents pay rent, submit maintenance requests, and manage other things."
It also lets landlords "drop in" (Alexaspeak for "trigger the mic and camera") in their tenants' homes. »
https://www.gizmodo.com.au/2020/09/amazons-alexa-for-landlords-is-a-privacy-nightmare-waiting-to-happen/
Satire is dead. Poe's Law rules all.
Landlord Alexa incorporates special commands that "let their residents pay rent, submit maintenance requests, and manage other things."
It also lets landlords "drop in" (Alexaspeak for "trigger the mic and camera") in their tenants' homes. »
https://www.gizmodo.com.au/2020/09/amazons-alexa-for-landlords-is-a-privacy-nightmare-waiting-to-happen/
« The city council and mayor unanimously approved two ordinances. The first is similar to those passed in Boston, San Francisco, etc. it bans all government use of facial recognition including use by police, schools, etc. notably this also includes use by TSA or airlines at PDX
The second ordinance is historic. It bans private businesses from using facial recognition in places of “public accommodation” as defined by the Americans with Disabilities Act. That means stores can’t use it on their customers, or on people walking by. It’s a huge deal. »
EDIT : article publié hier, juste survolé, pas pris le temps de lire https://www.vice.com/en_us/article/g5p9z3/amazon-spent-dollar24000-to-kill-portlands-facial-recognition-ban
The second ordinance is historic. It bans private businesses from using facial recognition in places of “public accommodation” as defined by the Americans with Disabilities Act. That means stores can’t use it on their customers, or on people walking by. It’s a huge deal. »
EDIT : article publié hier, juste survolé, pas pris le temps de lire https://www.vice.com/en_us/article/g5p9z3/amazon-spent-dollar24000-to-kill-portlands-facial-recognition-ban
« Et tout ça ne peut se débloquer que par un traçage payant. Soit par l'État avec France Connect, le même outil que pour payer vos impôts, soit par le privé (VPN, sites...). Là c'est le porno, c'est plus ou moins acceptable selon vos sensibilités sur la question, mais c'est surtout Internet en fait, le pouvoir que se donne l'État sur cet outil.
Bon après on va relativiser, de ce que j'en comprends, ça va être site par site qu'ils vont faire fermer et vue la masse...ptdr. Mais cette idée même d'incursion de l'appareil d'État dans tout un pan d'Internet…
Et surtout c'est toujours la même chose, c'est une vision ultra conservatrice et classiste : ceux qui regardent du porno "soft" et ont les moyens de payer pourrons continuer sans problème, on rejette la faute des violences conjugales sur les pauvres aux mœurs "décadentes" (la protection de l'enfance c'est un immense foutage de gueule hein, si les parents ont un VPN ça ne changera rien et vu que l'outil se démocratise...)
C'est du contrôle de la masse façon hygiéniste du XIXe mais à une toute autre échelle
Résultats :
- Ça ne va améliorer en rien l'industrie du porno (le but c'est pas de payer pour la vidéo)
- Ça va encore plus enfoncer l'idée que le problème c'est les pauvres
- Ça évite habilement de se dire que le problème c'est la société patriarcale et le contenu des sites et pas leur accessibilité.
Et encore une fois je ne m'exprime pas sur le porno en lui-même, mais sur les conséquences sociales et le fond politique de la loi »
Bon après on va relativiser, de ce que j'en comprends, ça va être site par site qu'ils vont faire fermer et vue la masse...ptdr. Mais cette idée même d'incursion de l'appareil d'État dans tout un pan d'Internet…
Et surtout c'est toujours la même chose, c'est une vision ultra conservatrice et classiste : ceux qui regardent du porno "soft" et ont les moyens de payer pourrons continuer sans problème, on rejette la faute des violences conjugales sur les pauvres aux mœurs "décadentes" (la protection de l'enfance c'est un immense foutage de gueule hein, si les parents ont un VPN ça ne changera rien et vu que l'outil se démocratise...)
C'est du contrôle de la masse façon hygiéniste du XIXe mais à une toute autre échelle
Résultats :
- Ça ne va améliorer en rien l'industrie du porno (le but c'est pas de payer pour la vidéo)
- Ça va encore plus enfoncer l'idée que le problème c'est les pauvres
- Ça évite habilement de se dire que le problème c'est la société patriarcale et le contenu des sites et pas leur accessibilité.
Et encore une fois je ne m'exprime pas sur le porno en lui-même, mais sur les conséquences sociales et le fond politique de la loi »
« IBM firmly opposes and will not condone uses of any [facial recognition] technology, including facial recognition technology offered by other vendors, for mass surveillance, racial profiling, violations of basic human rights and freedoms »
En réaction à : « Face masks cover up a significant portion of what facial recognition needs to identify and detect people -- essentially threatening the future of a multimillion-dollar industry unless the technology can learn to recognize people beyond the coverings: https://www.cnet.com/news/your-face-mask-selfies-could-be-training-the-next-facial-recognition-tool/ » ( https://twitter.com/TheOfficialACM/status/1263844592874651648 )
« The software, originally acquired in 2018 to find lost children, was used at a political rally for the first time on Dec. 22 (...) Police in the Indian capital have started feeding footage of ongoing protests to the software to filter out “habitual protesters” and “rowdy elements,” according to the report. »
Je serais curieux de savoir comment ils vont récolter ces données. Particulièrement sur les sites marchands.
« A series exploring how our governments use AI to target the vulnerable »
« ce qui est technologiquement possible n’est pour autant pas toujours socialement souhaitable »
« Il y a quelques jours, l’amie @Harsinoee se rend à la préfecture des Pyrénées-Orientales, à Perpignan, pour plaider sa cause devant la commission DALO (droit au logement opposable). Il y a le feu au lac, et pas qu’un peu.
Cette procédure représente en effet son dernier espoir de retrouver un toit et de reprendre pied après l’invraisemblable série de tuiles qui se sont abattues sur elle ces dernières années : la CAF qui se plante dans ses calculs et lui coupe les allocs, la privation quasi totale de ses moyens de subsistance, les dettes, les insomnies, l’arrêté d’expulsion, la peur au ventre de se retrouver à la rue avec son fils et ses chats – toutes choses dont on vous a déjà parlé, ici ou sur le fil de @Harsinoee .Vous en trouverez également un résumé sur la page de son comité de soutien (où Harsinoee mettra bientôt en ligne son courrier au @Defenseurdroits). https://soutienharsinoee.home.blog/
Au passage : celles et ceux qui ont alimenté sa cagnotte de lutte (6 400 euros, merci !), sachez que cet argent ne servira pas seulement à payer le champagne le jour de la victoire, quand elle aura enfin gagné son combat contre la CAF, l’OPHLM et la préf. Pour l’instant, le fric sert exclusivement à payer les frais d’avocat pour mener la lutte sur le plan judiciaire. Notre courageuse amie s’entête à ne vouloir prendre aucun sou pour elle et continue de se nourrir à la banque alimentaire. Fin de la parenthèse.
Voici donc Harsinoee qui se pointe à la préfecture, confiante dans l’examen de sa demande de relogement. Et là, stupeur : son référent préfectoral – que nous appellerons Igor, comme l’assistant patibulaire du baron Frankenstein – lui annonce que ça ne va pas être possible.
Pourquoi ? Parce que, lui dit Igor, des images de vidéosurveillance enregistrées à Perpignan la montrent en présence d’un homme. Un homme, doux Jésus ! C’est bien la preuve que Madame vit en couple, qu’elle n’est donc pas célibataire et que par conséquent elle a menti sur son statut de mère isolée. Moyennant quoi la commission est au regret de ne pouvoir examiner son dossier. Abasourdie, Harsinoee demande à visionner ces images, mais Igor ne veut rien savoir, circulez, fin de la discussion.
L’histoire est délirante à tous les niveaux.
1/ Harsinoee n’a pas de compagnon. Depuis le viol qu’elle a subi en mai 2018, elle n’est pas spécialement en recherche de compagnie masculine.
2/ Quand bien même elle aurait un chéri, un pote ou un cousin, en quoi ce serait les oignons du @pref66 ?
3/ Quand bien même la préfecture s’arrogerait le droit de veiller aux bonnes mœurs des femmes célibataires, en quoi cela justifierait l’usage de la vidéosurveillance, encadré en principe par un truc ballot qui s’appelle la loi, n’est-ce pas la @CNIL ?
Plein d'autres questions se posent. Ces images existent-elles seulement ? Si oui, qui les a enregistrées, identifiées et fournies à la préfecture, et dans quel but ? Et si elles n’existent que dans l’imagination créative d’Igor, pourquoi avoir inventé une histoire aussi wtf ?
L’ennui, c’est que l’argument invoqué pour virer Harsinoee du DALO n’a laissé aucune trace écrite. Passé un certain délai, elle pourra certes contester le rejet de son dossier devant le tribunal administratif, mais d’ici là la préf aura peut-être élaboré un plan plus présentable.
Son avocate n’étant hélas ni très réactive, ni très disponible, Harsinoee a essayé de recontacter Igor à plusieurs reprises. Son comité de soutien s’y est collé aussi, mais l’agent préfectoral a mis prudemment sa ligne sur répondeur. Nous sommes donc passés par le standard de la préf, qui nous a renvoyé à la responsable de la communication, laquelle a mis vingt-quatre heures pour nous servir par SMS une réponse en deux temps.
Premier temps : « Le dossier de cette personne a bien été examiné en commission. Au cours de cette réunion il n’a jamais été question de sa situation personnelle et encore moins de vidéosurveillance. » Ah, parfait. Donc Igor a tout inventé. Ou alors c’est Harsinoee qui a rêvé ?
Trois heures plus tard, nouveau texto, nouvelle version. « Après renseignements pris auprès des services concernés, le dossier de cette personne n’a pas été rejeté, mais ajourné, compte tenu de l’attente d’une décision connexe la concernant. » Connexe ? Quoi, où, comment ?
Par ailleurs, si l’on considère l’urgence de la situation, et le fait que les travaux de la commission ne durent que quelques jours, un « ajournement » sine die ressemble bigrement à un renvoi à la saint-glinglin, donc à un rejet. Mais la dir’com’ n’en dira pas plus.
Aujourd’hui, on est à deux jours de la trêve hivernale, et bien qu’une expulsion de dernière minute paraisse peu vraisemblable, Harsinoee est en panique. Le sale coup qu’on lui a fait à la préfecture l’incline à penser que celle-ci est capable de tout. Après toutes ces années où la CAF, l’OPHLM et la préf’ se sont acharnées sur elle et sa famille, la voici condamnée encore à passer les heures qui viennent dans l’angoisse de voir débouler l’huissier et le shériff. Elle a beau être d'un courage exceptionnel, c'est lourd.
Quant à la vidéosurveillance comme instrument de refus d’accès aux droits... qui sait si on aura un jour le fin mot de l’histoire. S’agit-il d’une simple bavure d’agent zélé, ou d’une expérimentation préparant une énième extension de leur politique de flicage tous azimuts ? Dans une start-up nation séduite par la reconnaissance faciale et le garrottage des «gens qui ne sont rien», on ne sait jamais. »
Cette procédure représente en effet son dernier espoir de retrouver un toit et de reprendre pied après l’invraisemblable série de tuiles qui se sont abattues sur elle ces dernières années : la CAF qui se plante dans ses calculs et lui coupe les allocs, la privation quasi totale de ses moyens de subsistance, les dettes, les insomnies, l’arrêté d’expulsion, la peur au ventre de se retrouver à la rue avec son fils et ses chats – toutes choses dont on vous a déjà parlé, ici ou sur le fil de @Harsinoee .Vous en trouverez également un résumé sur la page de son comité de soutien (où Harsinoee mettra bientôt en ligne son courrier au @Defenseurdroits). https://soutienharsinoee.home.blog/
Au passage : celles et ceux qui ont alimenté sa cagnotte de lutte (6 400 euros, merci !), sachez que cet argent ne servira pas seulement à payer le champagne le jour de la victoire, quand elle aura enfin gagné son combat contre la CAF, l’OPHLM et la préf. Pour l’instant, le fric sert exclusivement à payer les frais d’avocat pour mener la lutte sur le plan judiciaire. Notre courageuse amie s’entête à ne vouloir prendre aucun sou pour elle et continue de se nourrir à la banque alimentaire. Fin de la parenthèse.
Voici donc Harsinoee qui se pointe à la préfecture, confiante dans l’examen de sa demande de relogement. Et là, stupeur : son référent préfectoral – que nous appellerons Igor, comme l’assistant patibulaire du baron Frankenstein – lui annonce que ça ne va pas être possible.
Pourquoi ? Parce que, lui dit Igor, des images de vidéosurveillance enregistrées à Perpignan la montrent en présence d’un homme. Un homme, doux Jésus ! C’est bien la preuve que Madame vit en couple, qu’elle n’est donc pas célibataire et que par conséquent elle a menti sur son statut de mère isolée. Moyennant quoi la commission est au regret de ne pouvoir examiner son dossier. Abasourdie, Harsinoee demande à visionner ces images, mais Igor ne veut rien savoir, circulez, fin de la discussion.
L’histoire est délirante à tous les niveaux.
1/ Harsinoee n’a pas de compagnon. Depuis le viol qu’elle a subi en mai 2018, elle n’est pas spécialement en recherche de compagnie masculine.
2/ Quand bien même elle aurait un chéri, un pote ou un cousin, en quoi ce serait les oignons du @pref66 ?
3/ Quand bien même la préfecture s’arrogerait le droit de veiller aux bonnes mœurs des femmes célibataires, en quoi cela justifierait l’usage de la vidéosurveillance, encadré en principe par un truc ballot qui s’appelle la loi, n’est-ce pas la @CNIL ?
Plein d'autres questions se posent. Ces images existent-elles seulement ? Si oui, qui les a enregistrées, identifiées et fournies à la préfecture, et dans quel but ? Et si elles n’existent que dans l’imagination créative d’Igor, pourquoi avoir inventé une histoire aussi wtf ?
L’ennui, c’est que l’argument invoqué pour virer Harsinoee du DALO n’a laissé aucune trace écrite. Passé un certain délai, elle pourra certes contester le rejet de son dossier devant le tribunal administratif, mais d’ici là la préf aura peut-être élaboré un plan plus présentable.
Son avocate n’étant hélas ni très réactive, ni très disponible, Harsinoee a essayé de recontacter Igor à plusieurs reprises. Son comité de soutien s’y est collé aussi, mais l’agent préfectoral a mis prudemment sa ligne sur répondeur. Nous sommes donc passés par le standard de la préf, qui nous a renvoyé à la responsable de la communication, laquelle a mis vingt-quatre heures pour nous servir par SMS une réponse en deux temps.
Premier temps : « Le dossier de cette personne a bien été examiné en commission. Au cours de cette réunion il n’a jamais été question de sa situation personnelle et encore moins de vidéosurveillance. » Ah, parfait. Donc Igor a tout inventé. Ou alors c’est Harsinoee qui a rêvé ?
Trois heures plus tard, nouveau texto, nouvelle version. « Après renseignements pris auprès des services concernés, le dossier de cette personne n’a pas été rejeté, mais ajourné, compte tenu de l’attente d’une décision connexe la concernant. » Connexe ? Quoi, où, comment ?
Par ailleurs, si l’on considère l’urgence de la situation, et le fait que les travaux de la commission ne durent que quelques jours, un « ajournement » sine die ressemble bigrement à un renvoi à la saint-glinglin, donc à un rejet. Mais la dir’com’ n’en dira pas plus.
Aujourd’hui, on est à deux jours de la trêve hivernale, et bien qu’une expulsion de dernière minute paraisse peu vraisemblable, Harsinoee est en panique. Le sale coup qu’on lui a fait à la préfecture l’incline à penser que celle-ci est capable de tout. Après toutes ces années où la CAF, l’OPHLM et la préf’ se sont acharnées sur elle et sa famille, la voici condamnée encore à passer les heures qui viennent dans l’angoisse de voir débouler l’huissier et le shériff. Elle a beau être d'un courage exceptionnel, c'est lourd.
Quant à la vidéosurveillance comme instrument de refus d’accès aux droits... qui sait si on aura un jour le fin mot de l’histoire. S’agit-il d’une simple bavure d’agent zélé, ou d’une expérimentation préparant une énième extension de leur politique de flicage tous azimuts ? Dans une start-up nation séduite par la reconnaissance faciale et le garrottage des «gens qui ne sont rien», on ne sait jamais. »
« La CNIL a donc estimé que le dispositif de reconnaissance faciale installé à l’entrée de deux lycées de la région PACA était illicite au regard du RGPD. La situation provoque la fureur des élus locaux. »
J'ai tellement envie de voir les gens derrière ces technos se faire frapper. Je veux dire littéralement, je veux voir ces gens se prendre des pains dans la gueule. #punchACapitalist
EDIT : Et encore, ça équivaudrait même pas à la violence infligée par leurs technos
EDIT : Et encore, ça équivaudrait même pas à la violence infligée par leurs technos
« Bosses have new ways of spying on workers »
:/
« There's an eerily practical purpose to it, though: To impede HK govt/Chinese efforts to use facial recognition tech to track the protesters. » (https://twitter.com/ishaantharoor/status/1155852389435490305)
:D
EDIT : Pour ceux à qui les Juggalos n'évoquent rien https://www.telerama.fr/sortir/juggalos-les-clowns-maudits-de-l-amerique,123800.php
EDIT : Pour ceux à qui les Juggalos n'évoquent rien https://www.telerama.fr/sortir/juggalos-les-clowns-maudits-de-l-amerique,123800.php
« Depuis plusieurs mois, la presse européenne dénonce le projet de surveillance de la population, le Plan de planification pour la construction d’un système de crédit social (2014-2020) que le gouvernement de la Chine populaire met progressivement en place. Parfois de manière ironique, mais souvent sans grand discernement. L’ambition est d’attribuer à partir de 2020, à certaines catégories de citoyens chinois comme aux entreprises, une note de confiance, un « crédit social ». Le chercheur néerlandais Rogier Creemers propose ici une traduction du document de présentation du Conseil des affaires de l’État (l’équivalent du gouvernement en Chine). »
https://theconversation.com/le-credit-social-ou-le-big-brother-a-la-sauce-chinoise-98200
https://www.francetvinfo.fr/monde/chine/comment-la-chine-se-transforme-en-big-brother_2542357.html
http://www.armand-colin.com/vous-etes-filmes-enquete-sur-le-bluff-de-la-videosurveillance-9782200621230
https://theconversation.com/le-credit-social-ou-le-big-brother-a-la-sauce-chinoise-98200
https://www.francetvinfo.fr/monde/chine/comment-la-chine-se-transforme-en-big-brother_2542357.html
http://www.armand-colin.com/vous-etes-filmes-enquete-sur-le-bluff-de-la-videosurveillance-9782200621230
« Amazon pitched its facial recognition technology to law enforcement. More than 2 dozen civil rights organizations are asking it to stop. https://www.nytimes.com/2018/05/22/technology/amazon-facial-recognition.html »
« C’est la première fois sous le mandat Macron que des contrôles en amont d’une manifestation sont organisés. Ma pièce d’identité a été photographiée à République pour « fichage » selon la BAC présente, afin de « vérifier les diffusions des images après manifestation ».
Ce contrôle et cette menace de fichage ont été légitimés par une seule chose seulement, par le policier en civil : « nous, on veut pas voir nos visages sur les vidéos et les photos, donc on vérifiera les images qui seront diffusées ». »
Ce contrôle et cette menace de fichage ont été légitimés par une seule chose seulement, par le policier en civil : « nous, on veut pas voir nos visages sur les vidéos et les photos, donc on vérifiera les images qui seront diffusées ». »
Benjamin Bayart (entre autres) sur Radio Canada #facebook