Ce serait plutôt "vous aussi le mâles". Mais bref, ça fait un moment que Maïa Mazaurette a arrêté de faire de bons articles, surtout depuis qu'elle écrit quotidiennement sur GQ en fait. J'imagine que c'est contractuel et que la quantité passe avant la qualité.

Encore qu'ici le fond de l'article aurait pu être intéressant avec un traitement un peu moins paresseux (et j'opterais du coup pour la société qui se croit à l'aise mais finalement pas tant que ça).

Avec classe et bon goût, des petites astuces du XIIIème siècle pour une vie de couple épanouie (ou pas). ^^
(via http://colibri-libre.org/liens/?F1nPzQ)

Ce genre d'objet me fait frémir. Déjà parce que notre sexualité fait partie de nos activités humaines les plus intimes (ces données vont transiter par leurs serveurs) et aussi parce que la sexualité en tant que performance à analyser et à « statistifier » (c'est pas beau comme mot, mais j'ai pas trouvé mieux) me laisse pantois. Je trouve ce truc pire qu'une caméra dans une chambre à coucher.
#objets connectés

J'ai pas pris le temps de lire l'article, mais je cite Maïa : « Où l'on apprend qu'au Moyen-Age, la fellation ET le cunnilingus étaient considérés comme des fautes masculines. »
(via http://www.gqmagazine.fr/sexactu/articles/dimanche-des-liens-un-gant-magique-et-des-dcharges-lectriques/15434)

L'update me fait sourire. "Nous sommes clean, il n'y a que des gens vertueux qui bossent chez nous, la crème de la crème". On va les croire bien sûr. :)

Plusieurs commentaires mentionnent le Japon comme une bande de freaks, mais au final c'est partout la même, d'une manière ou d'une autre le sexe reste tabou. Suffit de voir Apple et Facebook.
Voir aussi : http://www.japantimes.co.jp/news/2014/07/16/national/crime-legal/17000-sign-petition-genitalia-artist-arrest/
EDIT : http://next.liberation.fr/arts/2014/07/16/une-artiste-japonaise-risque-deux-ans-de-prison-pour-son-bateau-chatte_1064829

Extrait : «  Tant que je prends du plaisir à tourner des pornos et que les aspects positifs continuent à être plus nombreux que les négatifs, je continuerai à bosser dans cette industrie, c’est certain ; mais surtout, n’allez pas croire qu’apparaître dans l’un de ces films est un acte émancipateur pour la femme, ni d’ailleurs, pour qui que ce soit. »

Stoya revient sur l'opposition entre son métier et le féminisme.

Pour faire une remarque sur le féminisme radical qu'elle fustige dans son texte, j'admets que parfois leur discours m'ennuie un peu, un peu pour les mêmes raisons que Stoya d'ailleurs (je pense notamment à Mar_Lard et à son altercation avec Florence Porcel que j'avais trouvé assez irrespectueux et déplacé). Mais j'en viens quand même souvent à les comparer... aux libristes extrémistes. J'entends par là, que leurs positions franches et tranchées font quand même majoritairement avancer le débat (ou amènent le débat). Parce qu'au fond, on sait qu'ils/elles n'ont pas complètement tord (EDIT : Quand je dis qu'ils/elles n'ont pas complètement tord, je ne parle évidemment pas de l'irrespect que peuvent avoir certain(e)s).

Maïa Mazaurette revient sur les sensations que lui procure une excitation sexuelle.

Extrait : « Montrer au plus juste, par métaphores, les sensations de l'amour physique sans basculer dans la pornographie : c'est le subtil défi qu'ont entrepris et réussi Florent Ruppert et Jérôme Mulot avec "La Technique du périnée" (Dupuis, Aire libre, à paraître le 9 mai). Une histoire d'amour à l'heure de Skype et d'OKCupid, à découvrir en avant-première et dans sa quasi-totalité sur Lemonde.fr »

L'article de présentation : http://bandedessinee.blog.lemonde.fr/2014/04/28/ruppert-mulot-le-sexe-comme-vous-ne-lavez-jamais-vu-dessine/
Et le cbz des 4 chapitres : http://files.nekoblog.org/uploads/cbz/la-technique-du-perinee.cbz (45mo)
Toutes les planches étaient déjà uploadées sur le site du Monde, un simple "wget http://s1.lemde.fr/mmpub/edt/zip/20140505/095042/imgs/img{3..93}.jpg"; a tout récupéré.
Je sais pas si ya vraiment tout l'album (il parle bien de quasi-totalité), l'éditeur annonce 104 pages, le Monde en a 91. M'étonnerait pas qu'il manque quelques pages histoire de faire acheter l'album (pck l'histoire se finirait un peu bizarrement en l'état). Enfin bref.

Extrait : « When you express opposition to abortion on demand, your words mean that you view all of this as perfectly fine: My death. Their deaths. Their poverty. Their children’s poverty. You would condemn real people to death, to a life of misery and suffering. And for what? For this. »

#avortement