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histoire
Et celle là aussi (de Nota Bene tjrs) que je n'ai pas pris le temps de voir : "Game Of Thrones - Fin de saisons et inspirations historiques - Motion VS History #2" > https://www.youtube.com/watch?v=TmTGyLyA0Ck
EDIT : http://ed.ted.com/lessons/the-wars-that-inspired-game-of-thrones-alex-gendler (via http://www.elbakin.net/fantasy/news/trone-de-fer/23299-Comment-lhistoire-influence-loeuvre-de-GRRM)
EDIT² : http://www.adweek.com/galleycat/historical-inspiration-for-game-of-thrones-infographic/107672
EDIT : http://ed.ted.com/lessons/the-wars-that-inspired-game-of-thrones-alex-gendler (via http://www.elbakin.net/fantasy/news/trone-de-fer/23299-Comment-lhistoire-influence-loeuvre-de-GRRM)
EDIT² : http://www.adweek.com/galleycat/historical-inspiration-for-game-of-thrones-infographic/107672
Extrait : « Disparus de la mémoire de la Libération, les viols de masse commis au printemps 1944 par les troupes françaises restent une plaie ouverte dans le cœur des Italiens du Latium. Sept décennies plus tard, la France ne s’est jamais excusée et les victimes n’ont pas oublié. »
Extrait : « La musicologue Mylène Pardoen a reconstitué l’ambiance sonore du quartier du Grand Châtelet à Paris, au XVIIIe siècle. Présenté au salon de la valorisation en sciences humaines et sociales qui se tient jusqu’à demain à la Cité des sciences et de l’industrie, son projet associe historiens et spécialistes de la 3D. »
Une (courte) interview de Sophie Cassagnes-Brouquet, professeure d’histoire médiévale, à propos des femmes guerrières au Moyen Âge.
Sauvegarde : https://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/france-inter-marche-histoire-2015.02-paris-XVIII-siecle.mp3 (26mo, 27min)
2 entretiens avec Arlette Farge (https://fr.wikipedia.org/wiki/Arlette_Farge) que je n'ai pas encore pris le temps de lire :
> http://traces.revues.org/3383 (2004)
> http://www.article11.info/?Le-corps-comme-evenement-Entretien (2011)
Assez curieux de lire son "Vivre dans la rue à Paris au XVIIIe siècle" (http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Folio/Folio-histoire/Vivre-dans-la-rue-a-Paris-au-XVIII-sup-e-sup-siecle).
Et en regardant sa biblio, son "Dire et mal dire. L'opinion publique au XVIIIe siècle" m'intéresse aussi pas mal (mais qui n'a pas l'air d'exister en poche et qui est vendu en numérique cher et avec DRM >.<) : http://www.seuil.com/livre-9782020129022.htm
2 entretiens avec Arlette Farge (https://fr.wikipedia.org/wiki/Arlette_Farge) que je n'ai pas encore pris le temps de lire :
> http://traces.revues.org/3383 (2004)
> http://www.article11.info/?Le-corps-comme-evenement-Entretien (2011)
Assez curieux de lire son "Vivre dans la rue à Paris au XVIIIe siècle" (http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Folio/Folio-histoire/Vivre-dans-la-rue-a-Paris-au-XVIII-sup-e-sup-siecle).
Et en regardant sa biblio, son "Dire et mal dire. L'opinion publique au XVIIIe siècle" m'intéresse aussi pas mal (mais qui n'a pas l'air d'exister en poche et qui est vendu en numérique cher et avec DRM >.<) : http://www.seuil.com/livre-9782020129022.htm
(via http://www.mypersonnaldata.eu/shaarli/?VevMBA)
EDIT : http://www.franceculture.fr/emission-l-essai-et-la-revue-du-jour-la-fabuleuse-histoire-du-clitoris-revue-genre-sexualite-et-soci (via http://sammyfisherjr.net/Shaarli/?8Lfp4w)
Sauvegarde : http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/france-culture-essai-revue-jour-2013.11-clitoris.mp3 (5mo)
EDIT : http://www.franceculture.fr/emission-l-essai-et-la-revue-du-jour-la-fabuleuse-histoire-du-clitoris-revue-genre-sexualite-et-soci (via http://sammyfisherjr.net/Shaarli/?8Lfp4w)
Sauvegarde : http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/france-culture-essai-revue-jour-2013.11-clitoris.mp3 (5mo)
Extrait : « Amezaiku désigne l’art japonais ancestral de la confection de sucettes en formes d’animaux très réalistes. Des créations délicates dont l’origine remonte à plus de 1200 ans, et qui continue d’exister grâce aux efforts de jeunes maitres comme le japonais Shinri Tezuka, propriétaire de la confiserie Ameshin. Une tradition importée de Chine durant l’ère Heian, puis popularisée pendant l’ère Edo. »
Extrait : « Une étude comparative fouillée des pratiques de la censure à trois époques différentes.
Dans cet ouvrage, De la censure. Essai d’histoire comparée, Robert Darnton, directeur de la bibliothèque de l’Université Harvard aux Etats-Unis et historien spécialiste du XVIIIe siècle français –notamment du milieu du livre–, réfléchit à la notion de censure à partir d’une comparaison entre trois cas historiques particuliers: l’Ancien Régime français du XVIIIe siècle, le Raj britannique du XIXe siècle et la République Démocratique Allemande (RDA). »
Ça promettait d'être intéressant, mais l'epub à 16€ avec DRM, euh non.
Dans cet ouvrage, De la censure. Essai d’histoire comparée, Robert Darnton, directeur de la bibliothèque de l’Université Harvard aux Etats-Unis et historien spécialiste du XVIIIe siècle français –notamment du milieu du livre–, réfléchit à la notion de censure à partir d’une comparaison entre trois cas historiques particuliers: l’Ancien Régime français du XVIIIe siècle, le Raj britannique du XIXe siècle et la République Démocratique Allemande (RDA). »
Ça promettait d'être intéressant, mais l'epub à 16€ avec DRM, euh non.
Quand un 1er mai, tu retombes un peu par hasard (les joies des playlists aléatoires de Clémentine) sur cette reprise d'une chanson de Jules Jouy (1887) en hommage aux pendus de Chicago (https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Haymarket_Square).
L'album "Noir... et rouge aussi un peu" (2003) des Amis d'ta Femme est un album de reprises de « chansons d'esprits libertaires » composées entre 1870 et 2000. Dans le livret du CD, chaque chanson est accompagnée d'un texte qui la replace dans son contexte historique. Je me permets de recopier celui qui accompagne ce "Sang des Martyrs" (somme toute assez similaire au texte de la page Wikipedia du massacre en question).
« Les pendus de Chicago
En 1868, une loi américaine reconnaît, sans l'appliquer, le principe syndical des 3x8, c'est à dire 8 heures de travail, 8 heures de sommeil, 8 heures de détente. À partir de 1869, les ouvriers américains luttent pour la mise en pratique de cette loi, afin d'obtenir de meilleures conditions de travail, mais aussi pour l'abolition du salariat. La première grève a lieu en 1877 à Pittsburgh. En octobre 1884, une date est choisie pour la mobilisation massive des ouvriers, alors que les usines licencient en bloc.
Ainsi, le samedi 1er mai 1886, les syndicats de la Fédération Américaine du Travail et le journal anarchiste "The Alarm" appellent à la grève générale, qui est largement suivie, mobilisant près de 340.000 salariés et bloquant au moins 12.000 usines dans tout le pays. À Chicago, alors que la manifestation se disperse, deux cents policiers font irruption et chargent les ouvriers : un mort et des dizaines de blessés. la violence policière suscite un appel à un rassemblement de protestation pour le 4 mai au Haymarket Square. Mais la veille, lors d'un meeting dans les usines Mac Cormick (où 1200 salariés viennent d'être récemment licenciés), les policiers tuent six travailleurs et en blessent une cinquantaine pour protéger les "jaunes", des ouvriers embauchés pour casser les grèves. Aussi le 4 mai, tout Chicago est paralysé par une grève générale. La manif de protestation a lieu dans la soirée, rassemblant 15.000 personnes. Le maire Carter Harrison y assiste, convaincu que rien ne va se passer, et demande au chef de la police John Bonfield de lever le dispositif de sécurité. Les gens se dispersent, il n'en reste que quelques centaines au Haymarket, quand soudain 180 policiers foncent vers la foule. Aussitôt, venue d'on ne sait où, une bombe à mèche est lancée sur les flics, y faisant un mort et des dizaines de blessés. Les forces de l'ordre ripostent immédiatement en tirant sur la foule, tuant cinq ouvriers.
L'État décrète la loi martiale. Huit militants, dont trois seulement présents au Haymarket, sont arrêtés. Leur procès commence le 21 juin 1886. Le procureur Julius Grinnel déclare au jury : « Il n'y a qu'un pas de la République à l'anarchie. (...) Ces huit hommes ont été choisis parce qu'ils sont des meneurs. Ils ne sont pas plus coupables que les milliers de personnes qui les suivent.
Messieurs du jury : condamnez ces hommes, faites d'eux un exemple, faites-les pendre et vous sauverez nos institutions et notre société. C'est vous qui déciderez si nous allons faire ce pas vers l'anarchie, ou non. »
Cinq d'entre eux sont condamnés à mort et pendus le 11 novembre 1887 : August Spies, George Engel, Albert Parsons, Adolph Fischer, et Louis Lingg qui se pend dans sa cellule. Plus de 500.000 personnes se pressent aux funérailles des "martyrs du Haymarket". Le 26 juin 1893, les rescapés Oscar Neebe, Michael Schwab et Samuel Fielden sont officiellement libérés, leur innocence étant reconnue, ainsi que le fait qu'ils ont été les victimes d'un procès hystérique, biaisé et partial.
C'est en leur mémoire, et pour rappeler ces événements, que le congrès de l’Internationale Socialiste réuni à Paris en 1889, choisira le 1er mai comme journée de lutte sociale pour les travailleurs du monde entier. Bien évidemment, le 1er mai sera immédiatement contesté par les autorités et les premières manifestations en France prennent une tournure violente. Comme à Vienne le 1er mai 1890, où la manifestation tourne à l'émeute, s'achève par l'arrestation des "meneurs" et le déclenchement de grèves pendant une semaine. Le 1er mai suivant à Fourmie, l'armée tire sur la foule : 10 morts. Le même jour, quelques dizaines de militants réunis place de la République à Levallois-Perret improvisent, drapeau rouge en tête, une manifestation en direction de Clichy. Profitant de l'arrêt du cortège, des policiers cherchent à confisquer le drapeau. Une bagarre, puis une fusillade éclatent. Le rassemblement se disperse, mais la police arrête trois manifestants blessés par balle. Jugés, ils sont lourdement condamnés le 28 août 1891.
Cet acharnement des autorités contre les anarchistes et les mouvements populaires décidera Ravachol, Auguste Vaillant et Émile Henry à commettre des attentats. Jusqu'au début du XXe siècle, le 1er mai conservera son aspect revendicatif et libertaire avant d'être finalement récupéré par la révolution bolchevique, puis par les nazis, et enfin par le régime de Vichy qui le travestira en "Fête du travail". »
L'album "Noir... et rouge aussi un peu" (2003) des Amis d'ta Femme est un album de reprises de « chansons d'esprits libertaires » composées entre 1870 et 2000. Dans le livret du CD, chaque chanson est accompagnée d'un texte qui la replace dans son contexte historique. Je me permets de recopier celui qui accompagne ce "Sang des Martyrs" (somme toute assez similaire au texte de la page Wikipedia du massacre en question).
« Les pendus de Chicago
En 1868, une loi américaine reconnaît, sans l'appliquer, le principe syndical des 3x8, c'est à dire 8 heures de travail, 8 heures de sommeil, 8 heures de détente. À partir de 1869, les ouvriers américains luttent pour la mise en pratique de cette loi, afin d'obtenir de meilleures conditions de travail, mais aussi pour l'abolition du salariat. La première grève a lieu en 1877 à Pittsburgh. En octobre 1884, une date est choisie pour la mobilisation massive des ouvriers, alors que les usines licencient en bloc.
Ainsi, le samedi 1er mai 1886, les syndicats de la Fédération Américaine du Travail et le journal anarchiste "The Alarm" appellent à la grève générale, qui est largement suivie, mobilisant près de 340.000 salariés et bloquant au moins 12.000 usines dans tout le pays. À Chicago, alors que la manifestation se disperse, deux cents policiers font irruption et chargent les ouvriers : un mort et des dizaines de blessés. la violence policière suscite un appel à un rassemblement de protestation pour le 4 mai au Haymarket Square. Mais la veille, lors d'un meeting dans les usines Mac Cormick (où 1200 salariés viennent d'être récemment licenciés), les policiers tuent six travailleurs et en blessent une cinquantaine pour protéger les "jaunes", des ouvriers embauchés pour casser les grèves. Aussi le 4 mai, tout Chicago est paralysé par une grève générale. La manif de protestation a lieu dans la soirée, rassemblant 15.000 personnes. Le maire Carter Harrison y assiste, convaincu que rien ne va se passer, et demande au chef de la police John Bonfield de lever le dispositif de sécurité. Les gens se dispersent, il n'en reste que quelques centaines au Haymarket, quand soudain 180 policiers foncent vers la foule. Aussitôt, venue d'on ne sait où, une bombe à mèche est lancée sur les flics, y faisant un mort et des dizaines de blessés. Les forces de l'ordre ripostent immédiatement en tirant sur la foule, tuant cinq ouvriers.
L'État décrète la loi martiale. Huit militants, dont trois seulement présents au Haymarket, sont arrêtés. Leur procès commence le 21 juin 1886. Le procureur Julius Grinnel déclare au jury : « Il n'y a qu'un pas de la République à l'anarchie. (...) Ces huit hommes ont été choisis parce qu'ils sont des meneurs. Ils ne sont pas plus coupables que les milliers de personnes qui les suivent.
Messieurs du jury : condamnez ces hommes, faites d'eux un exemple, faites-les pendre et vous sauverez nos institutions et notre société. C'est vous qui déciderez si nous allons faire ce pas vers l'anarchie, ou non. »
Cinq d'entre eux sont condamnés à mort et pendus le 11 novembre 1887 : August Spies, George Engel, Albert Parsons, Adolph Fischer, et Louis Lingg qui se pend dans sa cellule. Plus de 500.000 personnes se pressent aux funérailles des "martyrs du Haymarket". Le 26 juin 1893, les rescapés Oscar Neebe, Michael Schwab et Samuel Fielden sont officiellement libérés, leur innocence étant reconnue, ainsi que le fait qu'ils ont été les victimes d'un procès hystérique, biaisé et partial.
C'est en leur mémoire, et pour rappeler ces événements, que le congrès de l’Internationale Socialiste réuni à Paris en 1889, choisira le 1er mai comme journée de lutte sociale pour les travailleurs du monde entier. Bien évidemment, le 1er mai sera immédiatement contesté par les autorités et les premières manifestations en France prennent une tournure violente. Comme à Vienne le 1er mai 1890, où la manifestation tourne à l'émeute, s'achève par l'arrestation des "meneurs" et le déclenchement de grèves pendant une semaine. Le 1er mai suivant à Fourmie, l'armée tire sur la foule : 10 morts. Le même jour, quelques dizaines de militants réunis place de la République à Levallois-Perret improvisent, drapeau rouge en tête, une manifestation en direction de Clichy. Profitant de l'arrêt du cortège, des policiers cherchent à confisquer le drapeau. Une bagarre, puis une fusillade éclatent. Le rassemblement se disperse, mais la police arrête trois manifestants blessés par balle. Jugés, ils sont lourdement condamnés le 28 août 1891.
Cet acharnement des autorités contre les anarchistes et les mouvements populaires décidera Ravachol, Auguste Vaillant et Émile Henry à commettre des attentats. Jusqu'au début du XXe siècle, le 1er mai conservera son aspect revendicatif et libertaire avant d'être finalement récupéré par la révolution bolchevique, puis par les nazis, et enfin par le régime de Vichy qui le travestira en "Fête du travail". »
Interview de Kate Forde, une des deux commissaires de l’exposition Kâma Sûtra présentée en fin d'année dernière à Paris (http://www.pinacotheque.com/?id=927).
Extrait : « Nos systèmes d'exploitations sont forgés par l'histoire. Ils se sont formés par stratifications d'inventions accumulées. Les idées de Ken Thomson, Steve Bourne, et Bill Joy - pour ne citer que les personnes dont il est question dans cette dépêche - sont fossilisées dans les sources des logiciels que nous utilisons aujourd'hui. Parce qu'un rappel historique nous permet de comprendre les raisons du fonctionnement actuel d'un logiciel, cette dépêche présente rapidement l'histoire du shell de Bourne. »
EDIT : Pas encore pris le temps d'écouter, mais l'histoire des systèmes Unix et de Linux en podcast : http://linuxfr.org/news/si-linux-m-etait-conte
EDIT : Pas encore pris le temps d'écouter, mais l'histoire des systèmes Unix et de Linux en podcast : http://linuxfr.org/news/si-linux-m-etait-conte
Extrait : « Des chercheurs et archéologues ont analysé ce bijou retrouvé en Suède à la fin du XIXe siècle. Leur étude, publiée dans la revue Scanning, fait de cette bague une rare preuve de contacts entre deux civilisations. »
Haha ! ^^ (via http://links.kevinvuilleumier.net/?JXzJZg)
À propos de la récente découverte de la sépulture d'un prince celte. #archéologie
Le lien vers l'article du Monde : http://abonnes.lemonde.fr/archeologie/article/2015/03/04/decouverte-exceptionnelle-en-france-d-une-tombe-princiere-celte_4587484_1650751.html
Le lien vers l'article du Monde : http://abonnes.lemonde.fr/archeologie/article/2015/03/04/decouverte-exceptionnelle-en-france-d-une-tombe-princiere-celte_4587484_1650751.html
En 1964, des archéologues ont trouvé une poupée (enfin, plutôt une figurine) articulée en bois dans le sarcophage d'une romaine momifiée de 8 ans.