Quelques photos de l'édition 2013 de la fête du pénis à Kawasaki. Je sais pu où j'en avais entendu parler pour la première fois, mais ça remonte à plusieurs années, un documentaire sur le Japon, pérégrination sur le web. Chépu.
Mais effectivement, comme le mentionne un commentaire, de Caune en avait parlé dans son documentaire : https://links.nekoblog.org/?PcN8VQ
Pour en savoir plus : https://fr.wikipedia.org/wiki/Kanamara_Matsuri

Extrait : «En convoquant la presse, elles ont fait de la publicité au salon. Leur démarche de dénonciation a finalement été contre-productive. Sans compter que faire des doigts d’honneur à un public et envoyer les gens « se faire violer eux-mêmes » ne les incitera pas à réfléchir sur l’impact du téléchargement illégal. Ce n’est pas ainsi qu’elles les amèneront à se remettre en question. »

J'ai un peu l'impression de voir les moyens de protestations des punks à chien. Finalement, comme le dit Ovidie, c'est contre-productif, et m'est d'avis que ça fait plus de mal qu'autre chose à leurs propres idées. Dommage, ya une certaine puissance qui se dégage de ce mouvement, dommage que ça ne serve qu'à de la violence un peu "plate". #fail
Par contre, je doute que l'idée derrière leur action soit un combat contre le téléchargement illégal.

Autre lien d'Ovidie concernant les Femens : http://metrofrance.com/blog/ovidie/2013/03/08/pourquoi-je-nai-plus-foi-en-les-femen/
Et pour contrebalancer : http://www.crepegeorgette.com/2013/03/18/femenisme/

EDIT : Un autre article sur le sujet :: http://leplus.nouvelobs.com/contribution/804861-odeur-de-sexe-violence-des-femen-et-charme-d-une-actrice-x-ma-journee-a-eropolis.html

Extrait : « Nous nous intéresserons aujourd’hui tout particulièrement au Japon. Du hentai – le manga érotique – aux films bondage, la culture nippone est peut-être l’une des plus prolifiques en matière de production érotique pornographique. Cette culture érotique ne s’arrête d’ailleurs pas à la production cinématographique : le Japon est aussi célèbre pour être le pays des distributeurs de petites culottes usagées (interdits il y a quelques années même si certains sex shops en vendent encore). Comment comprendre cet érotisme, ces fantasmes très particuliers, où la jeunesse et la candeur de jeunes filles pubères se mélangent à l’ultra-violence de certaines mises en scènes sado-masochistes ? L’érotisme « à la japonaise » est-il compréhensible pour un Occidental au-delà de l’étonnement ou de la fascination ? »

Pas encore écouté.

Les invité(s) :
• Agnès Giard, auteure, spécialiste du Japon
• Camille Favre, historienne du genre et des sexualités, labo Framespa Toulouse II le Mirail / CNRS
• Christophe Bier, acteur, réalisateur, historien et critique de cinéma.

Le fichier mp3 : http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/france-culture-culturemonde-2013.02-sexe-et-porno-2.mp3 (47mo)

(via http://japinc.org/5-fev-le-porno-japonais-sur-france-culture_854)

Va falloir trouver d'autres excuses ? ^^

Ailleurs : http://sante.lefigaro.fr/actualite/2013/03/05/19969-faisons-lamour-ce-soir-jai-migraine

j'ai pas pu voir le docu, mais rien de bien nouveau sous le soleil. :)

«Je me suis rendu compte que je ne regardais pas les sexes. En réalité, je cherchais la forme qui se composait et se décomposait en permanence. C’était clairement l’émoi des femmes que je cherchais, mais, à travers elles, l’émoi de la femme dont je manquais cruellement à ce moment là. Il y avait donc une lutte et une violence non seulement dans la forme des corps qui se tordait sur le sol de mon studio, mais à l’intérieur de moi : JE luttais contre ma solitude, je luttais pour raviver des souvenirs, je luttais faire quelque chose avec mon obsession du corps de celle que j’aime». :)

Pas forcément fan de tous ses dessins (un peu trop démonstratif par moment), mais j'aime son trait, j'aime les courbes et les volumes qu'il donne à ses croquis.

Effectivement, le bouquin doit être assez touchant, je serais curieux de le lire.