16099 shaares
Un article de 2005 qui retranscrit en partie les propos de la vidéo https://www.liberation.fr/medias/2005/06/24/la-collaboration_524544/
Chouette petit bouquin, mais qui, je pense, mériterait une nouvelle traduction (ya pas de mention du traducteur dans l'article, mais la page de vente mentionne l'avant-propos de James Guillaume qui était aussi le traducteur et l'auteur de l'avant-propos de la version que j'ai)
Réaction d'une gamine qui vient de réussir un hadoken sur street fighter 3 :)
« "We found that everyone under 40 today will live an unprecedented life in terms of their lifetime exposure to heat waves, droughts and floods," Thiery said. "This is true even under the most conservative scenarios." »
« La Seine-Saint-Denis est, proportionnellement à son nombre d’habitants, le département le plus touché par la reprise des expulsions. Déjà en 2019, une expulsion sur huit concernait le département, qui ne compte pourtant que 3 % des locataires, selon les chiffres de la préfecture et du ministère de l’Intérieur. Soit 2192 ménages expulsés, sur 16 700 au national. « Cela s’explique par la précarité, mais aussi par le fait que ce département suscite l’appétit des spéculateurs. Entre le Grand Paris et les Jeux olympiques, les prix des loyers s’envolent », retrace Marie Huiban.
Au-delà des impayés de loyers, le département connaît ainsi une série d’expulsions en vue de la destruction de logements HLM, dans le cadre de programmes de l’Agence nationale de renouvellement urbain. « Au nom de la mixité sociale, on veut dégager les habitants des quartiers populaires… Il s’agit d’une épuration sociale, qui s’accélère avec tous ces projets spéculatifs » tranche la responsable du DAL. Contactée au sujet de la reprise des expulsions, la préfecture de Seine-Saint-Denis n’a pas donné suite. »
Au-delà des impayés de loyers, le département connaît ainsi une série d’expulsions en vue de la destruction de logements HLM, dans le cadre de programmes de l’Agence nationale de renouvellement urbain. « Au nom de la mixité sociale, on veut dégager les habitants des quartiers populaires… Il s’agit d’une épuration sociale, qui s’accélère avec tous ces projets spéculatifs » tranche la responsable du DAL. Contactée au sujet de la reprise des expulsions, la préfecture de Seine-Saint-Denis n’a pas donné suite. »
Le 2ème album hommage à Jet Set Radio de 2 Mello
Je copie une partie de son extrait
« Nous vivons dans un monde profondément inégalitaire, structuré autour de règles d'un capitalisme violent qui ne permet pas à la plupart d'entre nous de maintenir la tête hors de l'eau. Notre seule volonté ne peut démanteler ces structures de pouvoir, car nous ne sommes pas dotés de super-pouvoirs. Je ne crois pas au culpabilisant "Quand on veut, on peut". Non, il ne suffit pas de vouloir, car pouvoir nécessite un contexte social propice. »
« Nous vivons dans un monde profondément inégalitaire, structuré autour de règles d'un capitalisme violent qui ne permet pas à la plupart d'entre nous de maintenir la tête hors de l'eau. Notre seule volonté ne peut démanteler ces structures de pouvoir, car nous ne sommes pas dotés de super-pouvoirs. Je ne crois pas au culpabilisant "Quand on veut, on peut". Non, il ne suffit pas de vouloir, car pouvoir nécessite un contexte social propice. »
« A whole generation has grown up with powerful search functions, and don't think about computers the same way. »
J'écoute pu (et ne m'intéresse pu à) Metallica depuis un bail, mais ça reste intéressant à lire.
« “On this album, Jason approached his parts differently. He's playing more with Lars's kick drum, so his basslines are very distinct from my guitar lines – we're not getting in each other's way. Bob really helped us with orchestrating and bringing out the low end – getting the guitar and bass to work together.
“In fact, when I played the album for a friend, he asked, ‘What is that weird low-end sound?’ I said, ‘That's something new for us – it's called bass!’” »
« “On this album, Jason approached his parts differently. He's playing more with Lars's kick drum, so his basslines are very distinct from my guitar lines – we're not getting in each other's way. Bob really helped us with orchestrating and bringing out the low end – getting the guitar and bass to work together.
“In fact, when I played the album for a friend, he asked, ‘What is that weird low-end sound?’ I said, ‘That's something new for us – it's called bass!’” »
Avec quelques infos supplémentaires dans le thread
La droite, ou l'art de faire du mot "idéologie" un gros mot et d'imposer la leur en laissant croire que ça n'en est pas une.
Webcomic à propos de l'endométriose
Ok, donc en plus de EAC, BattlEye sera aussi supporté. Ce qui ouvre la porte a un paquet de jeux
« Je ne voulais pas regarder ce débat, parce que je ne voulais pas qu’il existe. Parce que je ne voulais pas m’imaginer qu’une nouvelle fois, à une heure de grande écoute, des millions de Français se fassent humilier publiquement à cause des prénoms donnés à leurs enfants. Pas une fois repris sur sa xénophobie, le multirécidiviste a cependant été corrigé sur les chiffres de l’immigration et des exilés par la cellule fact-checking de BFM. L’honneur de la profession est sauf. On humilie l’humain, mais avec les bonnes statistiques.
Dans le studio, aucune vérification nécessaire sur d’éventuelles propositions des deux participants à propos de notre système santé. On préfère laisser parler de la pigmentation de la France de 2050, dans un temps où l’on recense plus de 100 000 morts d’une épidémie qui déchire les plaies d’une société où un Français sur cinq est en situation de pauvreté. Priorité au triptyque immigration, islam, insecurité dans une éditorialisation aussi complice qu’obsessionnelle. »
Dans le studio, aucune vérification nécessaire sur d’éventuelles propositions des deux participants à propos de notre système santé. On préfère laisser parler de la pigmentation de la France de 2050, dans un temps où l’on recense plus de 100 000 morts d’une épidémie qui déchire les plaies d’une société où un Français sur cinq est en situation de pauvreté. Priorité au triptyque immigration, islam, insecurité dans une éditorialisation aussi complice qu’obsessionnelle. »