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numérique
« A l’échelle de quelques générations, faute de matière première, nous ne pourrons plus fabriquer d’ordinateurs. »
On va bien rire si les matières premières commencent à manquer alors qu'une grosse partie de notre économie dépend du numérique.
On va bien rire si les matières premières commencent à manquer alors qu'une grosse partie de notre économie dépend du numérique.
« Le monde numérique est un monde fondé sur le partage » dixit F. Hollande.
Je note, je note.
EDIT : Sauvegarde : http://files.nekoblog.org/uploads/imgs/tweet-elysee-numerique-partage.png
Je note, je note.
EDIT : Sauvegarde : http://files.nekoblog.org/uploads/imgs/tweet-elysee-numerique-partage.png
« L’adjectif digital en français signifie « qui appartient aux doigts, se rapporte aux doigts ». Il vient du latin digitalis, « qui a l’épaisseur d’un doigt », lui-même dérivé de digitus, « doigt ». C’est parce que l’on comptait sur ses doigts que de ce nom latin a aussi été tiré, en anglais, digit, « chiffre », et digital, « qui utilise des nombres ». On se gardera bien de confondre ces deux adjectifs digital, qui appartiennent à des langues différentes et dont les sens ne se recouvrent pas : on se souviendra que le français a à sa disposition l’adjectif numérique. »
tl;dr (via http://shaarli.cafai.fr/?ITqhPQ)
Extrait : « Le 16 février, John Chambers, numéro un de CISCO, signait avec Manuel Valls un accord visant à investir 100 millions de dollars dans plusieurs start-ups françaises. Ce rapprochement agace quelque peu la députée UMP Laure de la Raudière, qui craint que la France ne se fasse finalement « acheter » par les géants américains. »
La réponse de Matthieu (j'allais faire à peu près la même) : http://shaarli.callmematthi.eu/?Ylp0Qg
Et celle d'Oros : https://www.ecirtam.net/links/?PZ-RRw
Tout ça montre bien qu'on peine encore à trouver une économie compatible avec l'abondance. Quelque part, j'aime bien cette mise à mal de l'économie de rareté. Le téléchargement illégal massif pousse les gens à réfléchir sur d'autres choses, même si les gros ont un peu de mal à bouger leurs gros c*ls.
Et celle d'Oros : https://www.ecirtam.net/links/?PZ-RRw
Tout ça montre bien qu'on peine encore à trouver une économie compatible avec l'abondance. Quelque part, j'aime bien cette mise à mal de l'économie de rareté. Le téléchargement illégal massif pousse les gens à réfléchir sur d'autres choses, même si les gros ont un peu de mal à bouger leurs gros c*ls.
Je suis un peu sceptique, je trouve que ça fait bcp de mots pour dire que les sites web sont en fait des livres numériques. Pis je rejoins le commentaire de Thierry Crouzet (https://twitter.com/crouzet/status/542290505682677760), l'epub a des vertus que n'a pas un site, et l'écran de ma liseuse a des vertus que n'a pas un écran LCD. #ebooks
Reste qu'il y a quelque chose dans l'article qui me refait penser au tweet de Pierre Beyssac : « J'imagine le tollé si la police interdisait des livres. Mais bloquer des sites, aucun problème voyons. » (https://twitter.com/pbeyssac/status/494150537500459008)
(via https://twitter.com/studiowalrus/status/542285974693498880)
Reste qu'il y a quelque chose dans l'article qui me refait penser au tweet de Pierre Beyssac : « J'imagine le tollé si la police interdisait des livres. Mais bloquer des sites, aucun problème voyons. » (https://twitter.com/pbeyssac/status/494150537500459008)
(via https://twitter.com/studiowalrus/status/542285974693498880)
Extrait : « même si Adblock Plus et Eyeo venaient à disparaître, cela ne changerait rien au problème de fond, qui est le plus souvent éludé (...) Mais la guerre des majors contre le piratage, et la dizaine d'années mises par l'industrie avant de comprendre que le client n'était pas l'ennemi ont déjà été l'occasion de montrer que les solutions aux problématiques liées à l'émergence du numérique sont ailleurs et tout d'abord dans une offre légale bien pensée, adaptée, attractive et au modèle économique solide, quitte à intégrer des contenus et des fonctionnalités qui demandent à l'utilisateur de payer. »
Et je note aussi la conclusion : « Et c'est pourtant la confiance des lecteurs et leur respect par ceux qui publient des sites, des services ou de l'information en ligne qui continueront de faire d'internet un lieu toujours aussi intéressant et non pas un simple centre-ville de plus en plus bourré de boutiques, de rabatteurs et de centres commerciaux toujours plus puissants nommés Apple, Facebook ou Google (entre autres). Des lieux dans lesquels certains peuvent déjà passer des heures, enfermés, sans se préoccuper de tout ce qui se passe dans les petites rues aux alentours. »
Voilà.
Et je note aussi la conclusion : « Et c'est pourtant la confiance des lecteurs et leur respect par ceux qui publient des sites, des services ou de l'information en ligne qui continueront de faire d'internet un lieu toujours aussi intéressant et non pas un simple centre-ville de plus en plus bourré de boutiques, de rabatteurs et de centres commerciaux toujours plus puissants nommés Apple, Facebook ou Google (entre autres). Des lieux dans lesquels certains peuvent déjà passer des heures, enfermés, sans se préoccuper de tout ce qui se passe dans les petites rues aux alentours. »
Voilà.
Extrait : « Il y a deux fois plus d’informaticiens au chômage qu’il y a cinq ans. Vous avez bien lu : des informaticiens. Des gens qui, plus jeunes, ont écouté le conseiller d’orientation, et ont suivi le parcours qui devait les préserver du chômage. Selon les méthodes de comptage, ils sont entre 45 000 et 55 000. »
Ça me rappelle que j'ai déjà lu des annonces d'entreprises qui cherchait un "confirmé qui commence sa carrière", un "expert junior", voir des stagiaires avec quelques années d'expérience. Autant demander directement un confirmé avec la paye d'un débutant.
(via http://sebsauvage.net/links/?CFQftw)
Ça me rappelle que j'ai déjà lu des annonces d'entreprises qui cherchait un "confirmé qui commence sa carrière", un "expert junior", voir des stagiaires avec quelques années d'expérience. Autant demander directement un confirmé avec la paye d'un débutant.
(via http://sebsauvage.net/links/?CFQftw)
« J. Toubon évoque la future Loi sur le Numérique... avec ces mots " remplacer l'internet des machines par l'internet des hommes!" » (https://twitter.com/mlb9146/status/537969977534717952)
Je me doute que la phrase est assurément sortie de son contexte, mais j'ai beau la retourner dans tous les sens, j'arrive pas à lui en trouver un de sens. J'arrive pas à me défaire de l'idée que c'est une "belle" phrase politique de quelqu'un qui donne l'impression de ne pas très bien comprendre de quoi il cause et qui plus est, participe aux discussions autour de l'élaboration d'un projet de loi sur ledit sujet.
Quelques maigres infos sur le projet de loi en question : http://www.nextinpact.com/news/91118-des-pistes-se-degagent-pour-projet-loi-numerique.htm
À voir comment c'est fait, mais ça parle quand même d'une introduction du principe de neutralité des réseaux dans le droit français.
Je me doute que la phrase est assurément sortie de son contexte, mais j'ai beau la retourner dans tous les sens, j'arrive pas à lui en trouver un de sens. J'arrive pas à me défaire de l'idée que c'est une "belle" phrase politique de quelqu'un qui donne l'impression de ne pas très bien comprendre de quoi il cause et qui plus est, participe aux discussions autour de l'élaboration d'un projet de loi sur ledit sujet.
Quelques maigres infos sur le projet de loi en question : http://www.nextinpact.com/news/91118-des-pistes-se-degagent-pour-projet-loi-numerique.htm
À voir comment c'est fait, mais ça parle quand même d'une introduction du principe de neutralité des réseaux dans le droit français.
Un livre à propos des « industries culturelles face au numérique ». Par contre, quand le résumé du bouquin débute par « Pour retrouver le chemin de (...) la croissance », je me dis que ça commence mal.
Pis il est vendu avec DRM, donc je n'aurai aucun scrupule à le choper ailleurs, si je le trouve.
Pis il est vendu avec DRM, donc je n'aurai aucun scrupule à le choper ailleurs, si je le trouve.
Les slides d'une conférence de Genma.
Copie de sauvegarde : http://files.nekoblog.org/uploads/pdf/Genma_Petit_Guide_d_hygiene_numerique.pdf
(via http://www.cochisette.com/links/?mX5dXw)
Et dans le même genre, chez blog-libre.org : http://blog-libre.org/post/2014/09/03/dans-le-cloud-personne-ne-vous-entend-crier
Copie de sauvegarde : http://files.nekoblog.org/uploads/pdf/Genma_Petit_Guide_d_hygiene_numerique.pdf
(via http://www.cochisette.com/links/?mX5dXw)
Et dans le même genre, chez blog-libre.org : http://blog-libre.org/post/2014/09/03/dans-le-cloud-personne-ne-vous-entend-crier
De facto, je suis assez d'accord avec Bayart dans le sens où il vaut sûrement mieux initier les gamins aux usages du numérique que de leur apprendre à coder (s'exprimer en public est un usage du numérique à l'heure actuelle). Je suis pas sûr que l'apprentissage brut du code soit la bonne méthode là où bcp ont l'air de penser que c'est une solution miracle.
Reste que l'un n’empêche pas l'autre et que l'initiation au code ne peut pas faire de mal (au contraire). Un peu comme les maths que bcp pensent inutiles alors qu'elles sont (entre autres) une forme d'initiation au raisonnement.
Reste que l'un n’empêche pas l'autre et que l'initiation au code ne peut pas faire de mal (au contraire). Un peu comme les maths que bcp pensent inutiles alors qu'elles sont (entre autres) une forme d'initiation au raisonnement.
Ça fait un moment que je gardais ce blog dans mes flux sans avoir vraiment lu les articles. Pas de bol, le premier que je lis vraiment comporte un certain nombre d'approximation qui lui font perdre de la crédibilité.
Par exemple : « Tout d’abord, sachez que le son tel que vous l’entendez dans son état naturel est considéré comme analogique. Un éclat de rire, un orage, une explosion… tout cela correspond à des sons analogiques. (...) Et c’est là que ça devient intéressant car lorsqu’il est enregistré, le son n’est plus à l’état « naturel » ; il n’est donc plus forcément analogique. »
Ya un manque de rigueur dans l'explication. Certes, le son d'un CD est numérisé mais le son qui parvient à nos oreilles est toujours analogique. Les convertisseurs analogique/numérique (CAN) ou numérique/analogique (CNA) qu'on trouve dans notre matériel (au niveau des entrées/sorties d'une carte son entres autres) ne sont pas là pour rien. (par ex : micro > CAN > ordinateur > CNA > enceintes > oreilles)
« En effet, en l’état le poids d’un fichier numérique est beaucoup plus lourd que son équivalent analogique. »
Ou comment comparer l’incomparable. Je note qu'il d'ailleurs qu'il reste vague sur cet « équivalent analogique ».
Dommage.
Par exemple : « Tout d’abord, sachez que le son tel que vous l’entendez dans son état naturel est considéré comme analogique. Un éclat de rire, un orage, une explosion… tout cela correspond à des sons analogiques. (...) Et c’est là que ça devient intéressant car lorsqu’il est enregistré, le son n’est plus à l’état « naturel » ; il n’est donc plus forcément analogique. »
Ya un manque de rigueur dans l'explication. Certes, le son d'un CD est numérisé mais le son qui parvient à nos oreilles est toujours analogique. Les convertisseurs analogique/numérique (CAN) ou numérique/analogique (CNA) qu'on trouve dans notre matériel (au niveau des entrées/sorties d'une carte son entres autres) ne sont pas là pour rien. (par ex : micro > CAN > ordinateur > CNA > enceintes > oreilles)
« En effet, en l’état le poids d’un fichier numérique est beaucoup plus lourd que son équivalent analogique. »
Ou comment comparer l’incomparable. Je note qu'il d'ailleurs qu'il reste vague sur cet « équivalent analogique ».
Dommage.
Une sélection d'articles parus sur actualitte.com pour le DRMDay. Pas mal d'intervenants me laissent l'arrière goût d'avoir écrit un article "promotion" pour sa maison d'édition. J'aurais aimé voir plus de textes d'auteurs que d'éditeurs.
* Noël Pampagnin, un auteur et développeur qui n'aime pas les DRM, mais qui veut quand même que les œuvres soient protégées, il a donc créé... un autre DRM (Adonsuite). Je dis bravo. >.<
http://www.actualitte.com/usages/drmday-le-choix-revient-aux-detenteurs-des-droits-d-auteur-49901.htm
* David Queffélec, des éditions Multivers, fait l'apologie du watermark. Pour ma part, j'achète des bouquins watermarkés, mais j'aime pas trop ça non plus (même si ça se supprime aussi). Quand j'achète un bouquin en .pap chez le libraire du coin, j'ai pas mon nom, ou autre ID unique, noté sur la 2ème de couverture (ou la couverture). Faut faire gaffe d'ailleurs, certaines boutiques (je pense à Numilog) affiche un "sans DRM" sur leurs livres watermarkés, alors que d'autres (Feedbooks, immateriel.fr) annoncent très clairement les fichiers avec watermark.
http://www.actualitte.com/usages/drmday-non-ce-n-est-pas-obligatoire-il-y-a-des-solutions-alternatives-49961.htm
* Je garde ce court article de Lilian Ronchaud des éditions L'ivre-Book pour cette phrase qu'il faudra que je ressorte : « Numérique ou en papier, un livre est ce qu'on lit et non pas ce qu'on touche. »
http://www.actualitte.com/usages/drmday-un-livre-est-ce-qu-on-lit-et-non-pas-ce-qu-on-touche-49921.htm
* Nicolas Cartelet, oppose avec tact les antis et les pro-DRM et s'étonne que des gens soient contre les watermarks.
http://www.actualitte.com/usages/drmday-une-protection-aussi-restrictive-semble-contre-productive-49922.htm
* Sybille, éditrice et auteure des éditions Les Vagabonds du Rêve, pensent que les DRM sont un manque de respect pour le lecteur. Bah oui, +1.
http://www.actualitte.com/usages/drmday-un-manque-de-respect-pour-le-lecteur-49829.htm
* Jean-François Gayrard des Éditions numeriklivres, se demande « pourquoi vouloir se comporter avec du numérique, du "dématérialisé" comme avec du matériel ». Je suis d'accord avec lui, un fichier numérique ne se prête pas puisque "prêter" implique qu'on nous rende le bien. L'idée est débile sur un fichier numérique. Par contre, je suis désolé pour lui, personnellement, je partage volontiers mes fichiers avec une poignée de proche (et seulement avec eux).
http://www.actualitte.com/usages/drmday-preter-un-ebook-n-est-pas-un-geste-responsable-49969.htm
(EDIT : En réponse à l'article : http://leschosesdites.wordpress.com/2014/05/08/quelle-valeur-pour-limmateriel-le-cas-du-livre-numerique/ et http://page42.org/le-partage-en-question-peut-on-preter-un-ebook/)
Personnellement, ce qui "m'étonne" dans le marché des produits culturels numériques, c'est que le "peuple" (au sens large du terme) a acquis massivement une pratique (le téléchargement illégal) qu'une poignée "d'élites" essayent de réguler. Je trouve que quelque part, ça pose une question de souveraineté (j'ai pas de partie pris tranché sur la question, mais je trouve qu'elle a le mérite d'être posée, au moins pour réflexion).
* Noël Pampagnin, un auteur et développeur qui n'aime pas les DRM, mais qui veut quand même que les œuvres soient protégées, il a donc créé... un autre DRM (Adonsuite). Je dis bravo. >.<
http://www.actualitte.com/usages/drmday-le-choix-revient-aux-detenteurs-des-droits-d-auteur-49901.htm
* David Queffélec, des éditions Multivers, fait l'apologie du watermark. Pour ma part, j'achète des bouquins watermarkés, mais j'aime pas trop ça non plus (même si ça se supprime aussi). Quand j'achète un bouquin en .pap chez le libraire du coin, j'ai pas mon nom, ou autre ID unique, noté sur la 2ème de couverture (ou la couverture). Faut faire gaffe d'ailleurs, certaines boutiques (je pense à Numilog) affiche un "sans DRM" sur leurs livres watermarkés, alors que d'autres (Feedbooks, immateriel.fr) annoncent très clairement les fichiers avec watermark.
http://www.actualitte.com/usages/drmday-non-ce-n-est-pas-obligatoire-il-y-a-des-solutions-alternatives-49961.htm
* Je garde ce court article de Lilian Ronchaud des éditions L'ivre-Book pour cette phrase qu'il faudra que je ressorte : « Numérique ou en papier, un livre est ce qu'on lit et non pas ce qu'on touche. »
http://www.actualitte.com/usages/drmday-un-livre-est-ce-qu-on-lit-et-non-pas-ce-qu-on-touche-49921.htm
* Nicolas Cartelet, oppose avec tact les antis et les pro-DRM et s'étonne que des gens soient contre les watermarks.
http://www.actualitte.com/usages/drmday-une-protection-aussi-restrictive-semble-contre-productive-49922.htm
* Sybille, éditrice et auteure des éditions Les Vagabonds du Rêve, pensent que les DRM sont un manque de respect pour le lecteur. Bah oui, +1.
http://www.actualitte.com/usages/drmday-un-manque-de-respect-pour-le-lecteur-49829.htm
* Jean-François Gayrard des Éditions numeriklivres, se demande « pourquoi vouloir se comporter avec du numérique, du "dématérialisé" comme avec du matériel ». Je suis d'accord avec lui, un fichier numérique ne se prête pas puisque "prêter" implique qu'on nous rende le bien. L'idée est débile sur un fichier numérique. Par contre, je suis désolé pour lui, personnellement, je partage volontiers mes fichiers avec une poignée de proche (et seulement avec eux).
http://www.actualitte.com/usages/drmday-preter-un-ebook-n-est-pas-un-geste-responsable-49969.htm
(EDIT : En réponse à l'article : http://leschosesdites.wordpress.com/2014/05/08/quelle-valeur-pour-limmateriel-le-cas-du-livre-numerique/ et http://page42.org/le-partage-en-question-peut-on-preter-un-ebook/)
Personnellement, ce qui "m'étonne" dans le marché des produits culturels numériques, c'est que le "peuple" (au sens large du terme) a acquis massivement une pratique (le téléchargement illégal) qu'une poignée "d'élites" essayent de réguler. Je trouve que quelque part, ça pose une question de souveraineté (j'ai pas de partie pris tranché sur la question, mais je trouve qu'elle a le mérite d'être posée, au moins pour réflexion).
Je trouve l'article très bien jusqu'au paragraphe sur les implications politiques où je trouve que l'auteur se perd un peu.
Sinon quand je lis les commentaires, je me dis que c'est marrant, avant Snowden, les gens insultaient de paranos ceux qui alertaient sur la vie privée et les dangers des GAFA et autres mastodontes, maintenant, ces mêmes gens viennent nous dire que c'est pas nouveau, qu'on peut rien y faire, c'est comme ça, limite faut faire avec et s'en accommoder. Hey ! Mais wtf. >.<
Dans le même genre, un article avec un côté "faisons le deuil de notre vie privée" (sans ce côté dans l'article, c'est +1 sur le reste) -> http://www.pocarles.com/cette-vie-privee-qui-ne-lest-plus/
(via https://shaarli.amaury.carrade.eu/?ktdUYw)
Sinon quand je lis les commentaires, je me dis que c'est marrant, avant Snowden, les gens insultaient de paranos ceux qui alertaient sur la vie privée et les dangers des GAFA et autres mastodontes, maintenant, ces mêmes gens viennent nous dire que c'est pas nouveau, qu'on peut rien y faire, c'est comme ça, limite faut faire avec et s'en accommoder. Hey ! Mais wtf. >.<
Dans le même genre, un article avec un côté "faisons le deuil de notre vie privée" (sans ce côté dans l'article, c'est +1 sur le reste) -> http://www.pocarles.com/cette-vie-privee-qui-ne-lest-plus/
(via https://shaarli.amaury.carrade.eu/?ktdUYw)
Extrait : « La révolution numérique a entraîné l'explosion du nombre de données accessibles. Ces masses de données peuvent être traitées pour en tirer des informations utiles en sciences, en médecine, en économie, et dans bien d'autres domaines. C'est le phénomène Big data. »
Le lien vers ma copie du fichier mp3 : http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/france-inter-tete-au-carre-2013.10-big-data.mp3
Le lien vers ma copie du fichier mp3 : http://files.nekoblog.org/uploads/podcasts/france-inter-tete-au-carre-2013.10-big-data.mp3